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Retail, Franchising & Co

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May 2023

Carrefour réalise son rêve: les RH sans papier

Depuis le début de l’année, Carrefour Belgique dispose d’un département RH sans papier. À quoi bon être complètement digital ? L’organisation est désormais plus flexible, plus transparente et agile, affirme Carole Delava, People Solution & Projects Director chez le distributeur.

Un trajet de plus de 5 ans

En 2018, Carrefour Belgique s’est lancé dans un vaste processus de digitalisation des RH qui se termine aujourd’hui, après cinq ans de travail intense. Les projets Success Factors et KISS ont permis de revoir l’ensemble des processus et outils RH, notamment avec Partena Professional, afin de rendre les services RH accessibles via mobile. Tous les employés disposent d’un smart device avec lequel ils peuvent tout faire, de la gestion de leurs données personnelles à des formations e-learning en passant par le badging.

Carole Delava présentera le projet innovateur lors du RetailDetail HR & People Congress le 15 juin. « Toute l’organisation a été revue. Quelques 90 personnes ont participé au projet, et ce n’est qu’à ce moment-là que l’on en voit toute l’ampleur. C’était un processus de collaboration fantastique. Franchement, il y a eu des semaines de nuits blanches, mais quand on voit le résultat, on oublie tout et ça en vaut la peine. »

Des RH plus équitables et transparents

Dès le début, la gestion du changement a joué un rôle crucial. Tous les membres de l’entreprise ont reçu une adresse électronique et ont dû apprendre à travailler avec des applications, sans parler des nouveaux processus. « Dès la première phase, il y a eu 2,5 heures de formation par personne afin de maîtriser les processus et les outils. Grâce à la digitalisation, nous pouvons facilement réunir les responsables de tous les magasins du pays et par exemple, organiser des réunions et des formations en ligne de manière continue afin d’aider les utilisateurs à adopter les nouvelles applications et les nouvelles manières de travailler. »

La digitalisation et l’automatisation des processus permettent plus d’équité et de respect des règles. En outre, l’employé a plus d’autonomie et de flexibilité pour gérer ses processus. « Auparavant, presque toutes les demandes étaient encore gérées sur papier, ce qui ne permettait pas d’avoir une vue d’ensemble et qui laissait la porte ouverte à des différences de gestion ou d’interprétation dans les différents magasins. Aujourd’hui, tout est équitable et clair pour tout le monde. »

« Du temps pour les vrai RH »

Un nouveau département a été mis en place, le People Service Center, afin d’accompagner le changement et l’adoption des nouveaux outils. « En janvier, par exemple, nous avons changé de moteur de paie et de secrétariat social, ce qui a entraîné, entre autre, une modification des fiches de paie. Le People Service Center a alors reçu beaucoup de questions des employés pour bien comprendre les changements. »

Le People Service Center gère aussi toutes les tâches RH administratives pour libérer du temps aux autres fonctions RH afin de pouvoir se consacrer à des tâches à plus de valeur ajoutée. « Nous disposons désormais de beaucoup plus de données grâce à ces systèmes. La prochaine phase est donc celle de l’analyse et du reporting, afin que nous puissions encore améliorer les services RH», conclut Carole Delava.

(Retaildetail)

La chaîne de mode enfantine Name It ouvre son premier magasin en Wallonie

Après ses neuf premiers magasins en Flandre, la marque danoise de vêtements pour enfants Name It confirme ses ambitions de croissance en Belgique avec l’ouverture de son premier magasin wallon, à Charleroi.

« Une étape logique »

Le jeudi 1er juin, Name It ouvrira sa dixième boutique belge, au centre commercial Ville 2 à Charleroi. Il s’agit également du tout premier magasin en Wallonie pour la chaîne, qui a déjà ouvert neuf magasins dans le nord du pays, notamment à Wijnegem, Hasselt, Gand et sur le Meir à Anvers.

Name It fait partie du groupe de mode danois Bestseller, connu pour des marques telles que Vero Moda, Jack & Jones et Only. La marque vend des vêtements ludiques, tendance et abordables, avec un accent sur le denim, pour les enfants de 0 à 12 ans.

La marque a été lancée en 1996 et est aujourd’hui présente dans plus de 20 pays. En Belgique, le détaillant a des projets de croissance ambitieux : « La Wallonie était une étape logique dans notre plan de croissance et Ville 2 est un centre commercial familial agréable où nous nous sentirons certainement chez nous », déclare Marie Martin, country retail manager.

(Retaildetail)

SPIE optimise l’efficacité énergétique de l’hôpital Heilig Hart à Lier

SPIE Belgium, filiale du groupe SPIE, leader européen indépendant des services multi-techniques dans le domaine de l’énergie et de la communication, a récemment mis en place une nouvelle chaufferie centrale à cogénération au sein de l’hôpital Heilig Hart de Lier. Cette installation permettra à l’établissement de faire un pas de plus dans sa transition énergétique et d’économiser jusqu’à 16,4% d’énergie – tout en réduisant ses émissions de CO2 de 265 tonnes par an.

En avril 2022, l’hôpital Heilig Hart de Lier a débuté la construction d’une aile supplémentaire. Ce bâtiment ultra-moderne accueillera un nouveau service de soins intensifs et une extension du bloc opératoire actuel. L’objectif de l’hôpital est de pouvoir accueillir les premiers patients dans cette nouvelle aile d’ici mi-2023.
Avec ce bâtiment, Heilig-Hartziekenhuis souhaite également faire un pas en avant en termes de durabilité en rénovant l’ensemble de l’installation HVAC et les systèmes d’eau chaude sanitaire – rendant ainsi le complexe plus efficace sur le plan énergétique.

Après approbation du dossier, SPIE Belgium a été sélectionnée pour mettre en place une nouvelle chaufferie centrale à cogénération dans le futur bâtiment. Cette nouvelle installation permettra à l’hôpital de produire de la chaleur et de l’électricité de manière efficace, tout en émettant le moins d’émissions de CO2 possible.

UCM défend l’indépendance des entrepreneurs

Delhaize va modifier sa structure d’entreprise. Les supermarchés seront à l’avenir confiés à des entrepreneurs indépendants. Comme toujours, UCM prend le parti des indépendants.

Une frustration savamment entretenue par certains, matinée d’une incompréhensible absence de communication par d’autres, a pu donner à penser qu’UCM soutenait les franchiseurs. Il n’en est rien ! UCM continue de défendre les indépendants et les chefs de PME, et uniquement eux.

Mais tout n’est pas permis pour attaquer un franchiseur. Mettre à bas un système aussi utile que la franchise (et les autres modèles d’intermédiation commerciale) pour rappeler ses responsabilités à un franchiseur est excessif.

Une loi pour tuer la franchise ?

Une proposition de loi a pour objet d’embarquer franchiseur et franchisés dans la même « unité technique d’exploitation ». Ceci revient à fusionner fictivement le franchiseur et le franchisé. Notamment pour pouvoir imposer aux franchiseurs d’assumer le risque lié au paiement d’éventuelles indemnités de préavis. L’idée peut paraître séduisante. Elle est problématique.

En effet il est évident qu’un franchiseur soumis aux risques de devoir financer un licenciement qu’il n’aura pas décidé lui-même, va chercher à couvrir son risque. En augmentant drastiquement le prix qu’il fait payer aux franchisés pour exploiter la franchise.

Autrement dit, une telle réforme pourrait bien rendre la franchise totalement inabordable pour de nombreux entrepreneurs indépendants. Pour des raisons financières, nous venons de le dire. Mais plus fondamentalement parce qu’elle s’attaque à l’essence même du mécanisme, l’indépendance des parties qui collaborent. Nous donc avons un problème juridique avec cette proposition. Elle dissout les équilibres entre franchiseur et un franchisé.

Syndicalement

De plus un pareil projet va immanquablement avoir un impact important sur la présence syndicale dans les magasins franchisés. Puisque c’est l’ensemble de la chaîne franchiseur franchisé qu’il faudra prendre en compte pour vérifier si une entreprise est concernée par l’organisation d’élections sociales.

Conséquences, les CE et CPPT qui sont pour le moment actif au niveau des groupes franchiseurs le deviendront également pour l’ensemble des établissements franchisés. Dès lors la limite fixée à 50 travailleurs (un tabou absolu pour UCM) n’aura plus cours dans les établissements franchisés. Tous les salariés seront soumis au pouvoir des délégués syndicaux.

C’est donc avec une froideur certaine que nous accueillons cette proposition nous en avons d’ailleurs fait part à son principal défenseur.  

Jeu de pouvoir

Certes on peut comprendre que la transformation de grosses structures intégrées en petite structures indépendantes puisse susciter un certain émoi quant à la baisse significative de mandats syndicaux qu’une telle transformation suppose. Il s’agit néanmoins d’une transformation imposée par des modifications du secteur du commerce mais également de la société dans son ensemble. Le désir de flexibilité est partout. Le client veut tout, tout de suite, tout le temps… Et ce n’est certainement pas aux commerçants indépendants qu’il faut imputer cette situation.

Ils ont suffisamment de mal à suivre l’évolution des exigences de leurs clients pour ne pas en plus les rendre débiteur de cette dernière.

Mais Il reste selon nous une réelle incompatibilité à inclure des entrepreneurs dont la volonté est de rester indépendant dans une « unité d’exploitation » unique. C’est une contradiction dans les termes qui menace la liberté et l’autonomie des entrepreneurs.

(UCM)

Galeria peut mettre en œuvre son plan de sauvetage

La chaîne allemande de grands magasins Galeria Karstadt Kaufhof peut poursuivre ses activités : le tribunal a approuvé le plan de sauvetage et mis fin à la procédure d’insolvabilité de la société mère d’Inno.

La mode en point de mire

Le 1er juin, le tribunal d’Essen mettra fin à la procédure d’insolvabilité de Galeria Karstadt Kaufhof, rapporte le magazine économique allemand WirtschaftsWoche. La chaîne de grands magasins peut donc poursuivre son plan de sauvetage. 41 de ses 129 magasins seront fermés. Les créanciers avaient précédemment. accepter de renoncer à la grande majorité de leurs créances.

Sous la houlette d’un nouveau PDG, le Belge Olivier van den Bossche, le détaillant entend changer de cap, en se concentrant davantage sur la mode et moins sur d’autres catégories non alimentaires telles que les jouets ou la papeterie. Son offre de marques propres sera optimisée. Les succursales bénéficieront d’une plus grande autonomie pour adapter l’offre localement et tous les magasins seront modernisés au cours des trois prochaines années. Le propriétaire de Galeria, le groupe immobilier autrichien Signa, y consacre un budget de 200 millions d’euros.

Galeria est la société mère de la chaîne de grands magasins belge Inno, qui suit une voie indépendante et n’est pas affectée par les problèmes du marché allemand. Elle a même récemment confirmé son premier bénéfice net depuis des années.

(Retaildetail)

Nouveau recul du taux d’inflation des produits alimentaires

L’inflation des produits alimentaires a baissé pour le deuxième mois consécutif, mais reste élevée, selon Statbel, l’office gouvernemental des statistiques. L’inflation globale s’est élevée à 5,2 %.

Première bonne nouvelle : l’inflation est passée de 5,6 % à 5,2 % le mois dernier. Le retournement de tendance semble donc s’être amorcé, y compris pour l’inflation alimentaire, même si elle reste élevée. Les produits alimentaires (y compris les boissons alcoolisées) sont désormais 15,51 % plus élevés qu’il y a un an, contre 17,02 % en mars et 16,64 % en avril. Le rythme de la hausse des prix s’atténue donc, ce qui est conforme aux prévisions de certains experts : l’inflation devrait retrouver une tendance à la baisse d’ici l’été. Malgré ces bonnes nouvelles pour les consommateurs, certains produits sont devenus plus chers, comme les frites et la restauration rapide, dont les prix ont augmenté de 4,1 % en un mois. En revanche, certains produits sont devenus moins chers, comme le sucre et les céréales, ainsi que les carburants et l’électricité.

Il y a exactement un an, l’inflation des denrées alimentaires n’était que de 6 %. Le pain et les céréales sont devenus moins chers le mois dernier, mais ils sont encore beaucoup plus chers sur une plus longue période. “L’inflation des huiles, du poisson, des produits laitiers, du pain et des céréales et de la viande en particulier, a fortement augmenté ces derniers mois. Par exemple, l’inflation pour les huiles est de 19,9 % ce mois-ci. Pour le poisson, l’inflation est maintenant de 12,2 %. L’inflation pour les produits laitiers est de 23,8 % ce mois-ci, pour le pain et les céréales de 15,9 % et pour la viande de 12,9 %”, révèle Statbel. Moins bonne nouvelle, l’inflation de base, qui exclut l’énergie et les aliments frais, a augmenté le mois dernier et reste très élevée, à 8,7 %. L’inflation pour les services, tels que les repas au restaurant, les coupes de cheveux ou les billets de cinéma, est également en forte hausse, passant de 6,8 % à 8,16 %. Cette augmentation est en grande partie liée aux coûts salariaux, qui sont beaucoup plus élevés qu’auparavant en raison de l’indexation automatique. Jeudi, le taux d’inflation pour l’ensemble de la zone euro sera publié.

Le retail park Quartier Enée à Gembloux ouvre ses portes

Le nouveau retail park de Mitiska Reim, le Quartier Enée à Gembloux, est ouvert au public. On y trouve, entre autres, Aveve, JYSK et McDonald’s déjà ouvert en novembre dernier . Pourtant, Mitiska veut se débarrasser immédiatement du centre commercial.

Onze magasins

Le mercredi 24 mai, les magasins du Quartier Enée ont ouvert leurs portes pour la première fois. Le nouveau retail park de Mitiska REIM dans la ville wallonne de Gembloux comprend onze magasins, représentant une surface locative de plus de 17.000 m². Situé sur une ancienne friche industrielle, le centre commercial offre un parking gratuit pour 600 voitures et 120 vélos.

On y trouve déjà, entre autres, Aveve, JYSK, La Foir’Fouille, Vanden Borre, Maxi Zoo et un restaurant McDonald’s. Trois autres concepts de loisirs seront ajoutés au cours de l’été : KoJump, Mi12 Fun Center et un hall de football en salle. Le Quartier Enée fait également partie d’un projet immobilier mixte plus vaste de 27 000 m² qui comprend des unités de PME et des espaces de bureaux.

Bien que le parc soit récent, il est déjà en vitrine. Mitiska Reim souhaite vendre ses 5 parcs commerciaux pour un montant d’environ 200 millions d’euros. Outre le Quartier Enée, il s’agit des complexes commerciaux Malinas (Malines), Parc de l’Europe (Wavre), La Couvinoise (Couvin) et Ninouter (Ninove). Entre-temps, Managing Director Bram Thomas estime néanmoins que les parcs commerciaux « continueront à stimuler les bonnes performances de l’ensemble du portefeuille ».

(Retaldetail)

Zeeman : la croissance du chiffre d’affaires s’accélère

En marge de la publication ce mardi de son rapport annuel RSE, Zeeman a fait état d’un chiffre d’affaires en hausse de 14,1% en 2022. La chaîne néerlandaise s’est également félicité des progrès accomplis en matière de durabilité.

En 2022, Zeeman a réalisé un chiffre d’affaires net de 774,2 millions d’euros, ce qui représente une augmentation de 14,1% par rapport au 678,5 millions de 2021, se réjouit l’enseigne néerlandaise spécialisée dans les vêtements à bas prix. Entre 2020 et 2021, la croissance avait été de 10%. L’entreprise a également mis en avant ce mardi sa volonté de continuer à investir dans la qualité de ses magasins et de son entrepôt, dont la modernisation devrait être achevée d’ici la fin de cette année. En 2022, les investissements de Zeeman ont été de 45,9 millions d’euros contre 41,1 millions d’euros un an plus tôt. Ces investissements ont notamment permis à la chaîne d’ouvrir 43 nouveaux magasins l’an dernier (contre 33 fermetures), ce qui porte désormais à 1.313 le nombre total de ses points de vente (au 31 décembre 2022). La société basée à Alphen-sur-le-Rhin n’a communiqué aucun chiffre concernant ses bénéfices.

Pour 2023, Zeeman s’attend à être confrontée à des « développements macroéconomiques et mondiaux difficiles », et ce, pendant une période prolongée. « Malgré ces prévisions, nous continuerons à nous engager en faveur d’un salaire de subsistance au sein de la chaîne au cours des prochaines années », a assuré Erik-Jan Mares, CEO de Zeeman. « Nous voulons également prendre des mesures supplémentaires pour rendre l’assortiment plus durable, tout en maintenant le prix le plus bas possible. » Dans son rapport annuel RSE 2022, Zeeman s’est en effet félicité que des mesures importantes aient été prises l’an dernier en matière de salaires décents et de durabilité des produits. Parmi les initiatives mises en avant par la chaîne, on notera le fait que Zeeman se soit lancée dans la vente de vêtements d’occasion dans certains de ses points de vente (6 magasins aux Pays-Bas, 2 en Belgique) ou encore le lancement de nouveaux programmes de salaire de subsistance dans quatre usines situées au Bangladesh, en Inde et en Turquie.

Le Carrefour Express de Spa rouvre ses portes après l’incendie qui l’a touché en mars dernier

Bonne nouvelle pour le Carrefour Express de Spa ( Place du Monument, 8) : 2 mois et demi après un problème électrique qui a provoqué un incendie au début du mois de mars, le magasin a rouvert ses portes le 23 mai 2023. C’est un exploit technique. Heureusement, la structure du bâtiment n’a pas été touchée. Les 6 collaborateurs ont travaillé d’arrache pied afin d’être présents pour la saison touristique. L’équipe soudée est ravie d’accueillir à nouveau la clientèle qui n’a pas manqué de marquer son soutien durant ces semaines de reconstruction.

Une offre sur mesure pour la clientèle habituée et les touristes

Avec ses 250 m², le Carrefour Express de Spa propose l’assortiment le plus complet possible sur un espace limité. Il met l’accent sur une offre typique d’un Express urbain et propose des fruits & légumes, du pain cuit sur place ainsi que des viennoiseries et des plats traiteur.

Les clients y trouveront également des produits locaux tels que de nombreuses bières locales.

Situé dans une zone touristique à proximité des Thermes de Spa et du circuit de Spa Francorchamps, le magasin est ouvert tous les jours de la semaine de 7h30 à 20h, et de 8h à 20h les week-ends et jours fériés.

Un ensemble d’éléments qui, additionnés les uns aux autres, font de ce Carrefour Express une illustration pratique et concrète de la stratégie Act For Food de Carrefour dont le but est de toujours rendre le meilleur accessible à tous.

De nombreux efforts en termes de durabilité

Le franchisé a accordé une grande attention à la durabilité puisque ce magasin a installé un système de refroidissement au CO2 qui permet de réaliser une importante réduction d’énergie. Il utilise également des éclairages LED.

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