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Retail, Franchising & Co

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January 2023

Faits divers : La ministre flamande qui utilise le plus sa voiture de fonction est la ministre de l’Environnement !

Depuis 2020, les ministres du gouvernement flamand ont parcouru plus d’1,325 million de kilomètres avec leur voiture de fonction, soit 33 fois le tour de la terre, selon les chiffres du ministre-président flamand, Jan Jambon (N-VA).

Seuls deux ministres – Bart Somers (Open VLD) et Benjamin Dalle (CD&V) -disposent d’un véhicule électrique tandis que les autres ont des voitures hybrides.

C’est la ministre flamande de l’Environnement, Zuhal Demir (N-VA) qui décroche la palme du plus grand nombre de kilomètres parcourus. Avec ses 308.840 kilomètres au compteur, elle compte pour près d’un quart du total des déplacements effectués en voiture par les ministres régionaux.

Louis Vuitton lance une collection pour bébés !

Aussi étonnant cela puisse paraître, même si Louis Vuitton a souvent abordé le thème de l’enfance à travers ses campagnes publicitaires ou la vente de jouets, elle ne s’était jamais aventurée jusqu’ici sur le terrain de la mode enfantine. C’est désormais chose faite avec une première collection dédiée aux nouveau-nés, qui sera disponible dans les boutiques de la maison de luxe et son site marchand à partir du 3 mars.

ph Philippe Lacombe


Il s’agit d’une ligne d’habillement et d’accessoires complète pour nourrissons de trois à douze mois, composée de vêtements pour le quotidien ou les occasions spéciales. Sont ainsi proposés barboteuses et grenouillères en maille, bodies, pyjamas, ensembles coordonnés, robes, tricots et manteaux à capuche cachemire double face. Au rayon des accessoires: chaussettes, bonnets, bavoirs, souliers et chaussons. 

L’ensemble est décoré des fleurs et du motif Méli-Mélo du célèbre monogramme de la maison et décliné en matières douillettes et teintes délicates (blanc lait, sable, camaïeu de gris), rehaussées de jaunes et de pastels. A cela s’ajoute une série d’objets pour enfant, tels que l’ours en peluche, la timbale en argent, un hochet, des couvertures, des sacs de voyage ou une trousse de toilette. Sans oublier l’emblématique malle Louis Vuitton transformée en garde-robe.

La collection est réalisée en interne. Une attention particulière a été portée aux détails, des boutons en nacre aux broderies, décorations et jacquards, tandis que les matières ont été scrupuleusement sélectionnées, entre coton biologique, cuir certifié, ainsi que cachemire et laine auprès de fournisseurs garantissant le bien-être animal, précise la marque. Les prix des produits n’ont pour l’instant pas été divulgués.

“Cette offre dédiée à la naissance vient renforcer le lien émotionnel de la maison avec ses clients, chaque moment symbolique devenant un souvenir impérissable”, indique Louis Vuitton dans un communiqué.

Ce premier pas dans la mode junior marque en tous les cas la volonté de la part de la griffe phare du groupe LVMH de se diversifier dans un segment à fort potentiel, tout en renforçant son lien avec les clients-parents et en élargissant sa clientèle aux futures générations.

(FashionNetwork)

Esthetic Center ouvre sa première franchise à Bruxelles

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Jeudi 26 janvier, l’enseigne française Esthetic Center inaugurait en grand style sa première franchise en Belgique à Bruxelles (Avenue de Tervuren 113) en compagnie de Dominique Munier, Directeur des enseignes du groupe Novi dont fait partie Esthetic Center, de sa franchisée Florina Altindag et de son équipe d’esthéticiennes.  L’institut dispose de 5 cabines de soins dont une réservée pour les hommes.

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Le Groupe Novi

Le groupe familial Novi, fondé en France en 1973 avec une parfumerie portant son nom à Périgueux, est aujourd’hui géré par la 3ème génération et regroupe dans son pôle “services” trois enseignes : Esthetic Center, JFG Clinic et Citron Vert. 

Le groupe compte à ce jour quelque 650 magasins dans 15 pays avec quelque 2.700 salariés et son chiffre d’affaires en 2022 a atteint 250 millions d’euros.

La franchise JFG Clinic, institut de beauté qui mise sur le concept tri-axe (lumière pulsée, dépilation laser et anti âge visage), est présente également en Belgique avec 2 points de vente en licence de marque , situés à Uccle et à Charleroi.

La franchise Esthetic Center

Esthetic Center est un institut de beauté et centre de minceur pour femmes et hommes, à prix doux, sans ou avec rendez-vous. L’institut propose son expertise pour toutes les prestations esthétiques associées à des produits et des technologies efficaces (épilations, soins du corps, du visage, des mains et  des pieds, beauté du regard).  L’institut propose également une formule  d’abonnement “Le Club”, où la clientèle bénéficie de réductions sur toutes les prestations et d’autres avantages exclusifs.

Esthetic Center compte aujourd’hui 180 instituts dont la plupart sont en France et une dizaine à l’international (Belgique, Suisse, La Réunion, Guyane et Guadeloupe).

La franchisée Florina Altindag

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Florina (32 ans), mère de 2 enfants, qui a commencé sa carrière comme employée administrative comptable, n’est cependant pas une néophyte dans le monde de la franchise car elle exploitait avant la pandémie avec son mari Mergim Balaj, un magasin de proximité franchisé dans l’agglomération bruxelloise. 

Mergim est aujourd’hui également un franchisé du dernier magasin de l’enseigne Bagel Corner, ouvert en août dernier dans la station de métro Louise de la Stib.

Florina a été attirée dès sa jeunesse par l’univers de l’esthétique et après avoir suivi une formation initiale à titre personnel, elle était prête à réaliser son rêve : ouvrir son propre institut. 

Séduite par le concept de Esthetic Center et ses valeurs familiales, elle devient la première franchisée belge de l’enseigne.

Elle a suivi une formation esthétique de deux semaines au siège de Esthetic Center à Bordeaux plus une semaine en Belgique pour la partie administrative de l’institut. Elle est assistée aujourd’hui par deux esthéticiennes diplômées et passionnées pour prendre soin de la clientèle. Une animatrice du réseau l’a accompagnée depuis quelques semaines jusqu’à l’ouverture de l’institut.

Florina se concentrera sur l’organisation et l’administration de l’institut avec l’accompagnement du siège pour les aspects logistiques et commerciaux.

Des projets pour le futur : même si il est encore trop tôt pour en parler, pourquoi pas développer le réseau belge de Esthetic Center !

Yves Rocher : pourquoi ses ventes font grise mine

Ringardisé, le groupe familial breton vacille. Ses deux vaisseaux amiraux, la VPC et la vente en réunion, sont à la peine. Un changement de cap radical s’impose.

C’est une réunion pour le moins inhabituelle qui s’est tenue début décembre 2022 à Issy-les-Moulineaux, au siège du groupe Yves Rocher, près de Paris. Lassé de voir son projet de réorganisation s’enliser dans d’interminables négociations, Bris Rocher a sifflé la fin de la récréation. En sa qualité de P-DG du groupe, le petit-fils de son fondateur a repris les choses en main: il a remercié son directeur des ressources humaines et convoqué les élus syndicaux, loin de leurs terres bretonnes de La Gacilly (56). Objectif: rappeler la gravité de la situation et leur mettre la pression pour signer le plan de gestion des carrières, sur la table depuis la rentrée.

Seulement voilà, ce dispositif de gestion des emplois et des parcours professionnels (Gepp) ne se contente pas d’organiser la formation des salariés à de nouveaux métiers, comme son rôle le prévoit, mais acte aussi la suppression de 273 postes sur trois ans, dont l’essentiel en Bretagne. Il conduit même à la fermeture de l’usine de Ploërmel (56). “Nous avons indiqué aux personnels la forte probabilité d’un arrêt des activités sur le site à horizon 2025”, confirme un porte-parole du groupe. Furieux de la méthode employée, les syndicats ont finalement refusé de signer le document qui leur était proposé, le 9 janvier, pour obliger Yves Rocher à assumer son projet. “Le groupe vise une réduction de 10% de sa masse salariale, c’est un plan social déguisé”, s’insurge Jean-Marc Thépaut, secrétaire général de la CFDT Morbihan.

(Capital)

Bilan 2022 pour l’enseigne Bagel Corner

2022 fut une année riche en émotions, en nouveautés et en collaborations pour Bagel Corner. Les moments marquants de 2022 pour l’enseigne c’est …

🥯 La création de 20 recettes supplémentaires pour encore plus de plaisir et de découvertes gustatives pour nos clients. 
Développer la fidélité de notre clientèle en élargissant le choix de nos produits et en décuplant la gourmandise pour les plus de 1.2 million de bagels vendus cette année.

🍩 La naissance de notre Dark Kitchen Amazing Donuts, une gamme de donuts ultra gourmands disponible sur l’ensemble des restaurants de notre réseau et en livraison sur Uber Eats et Deliveroo en France. Amazing Donuts c’est plus de 200.000 donuts vendus en 2022, 40 recettes exclusives et plus de 100 combinaisons possibles. Les donuts sont préparées en boutique chaque jour tout au long de la journée et à déguster en restaurant, à la maison et sur tous vos événements.

📦 L’emménagement dans de nouveaux bureaux dans le 15e arrondissement parisien. Un lieu spacieux et chaleureux dans lequel la team s’épanouit et évolue avec plaisir et sérieux.

🌱La collaboration avec LA VIE et leurs célèbres tranches de bacon…sans bacon ainsi que Garden Gourmet Nestlé  ! Une variante végétale qui s’inscrit dans la continuité de notre engagement environnemental et qui permet de satisfaire le plus grand nombre. 

🔥La découverte de vos bagels préférés sous un nouveau jour grâce à l’arrivée de nos fours à cuisson rapide, véritable révolution dans nos restaurants ! Du fromage fondant, du pastrami chaud laissant entrevoir de nouvelles saveurs et un bagel fumant lorsque vous l’ouvrez…de quoi tenir chaud jusqu’au retour des beaux jours. 

👫Le renouvellement des contrats de nos licenciés de Toulouse, Paris et La Rochelle ainsi que les ouvertures des établissements à Colmar, la Réunion, Bruxelles, Avignon et Nice ainsi que les 6 ouvertures déjà planifiées pour 2023. 

🚀 Last but not least…… Après plus d’1 an de préparatifs et de réflexions sur le lancement de notre tout nouveau concept Bagel Corner, nous pouvons officiellement vous annoncer que les premières ouvertures auront lieu dès le 1er trimestre 2023. 
Nous misons sur la convivialité, la gourmandise et la digitalisation de ce concept pour renforcer l’expérience client, au centre de nos préoccupations et accélérer le développement de l’entreprise en France et en Europe pour atteindre notre objectif de 100 restaurants d’ici à 5 ans.

En quelques chiffres 2022 c’est…

🙌 Plus de 6000 avis 5 étoiles reçus sur Google

⭐️ Une note moyenne de 4,8/5 en livraison

🤝 Plus de 12.000 nouveaux clients fidèles 

💕 Plus de 300.000 likes sur les réseaux sociaux 

De beaux projets ancrés dans l’ADN Bagel Corner et qui feront bien sûr partie intégrante de 2023 !

Erfo entre  en Belgique et en France avec le modèle Dietnatural

Le Laboratorio Farmaceutico Erfo Spa italien, a annoncé vendredi qu’il avait signé un accord pour reprendre 65% de BodySano France SAS.

BodySano commercialise des compléments alimentaires par le biais de ses centres franchisés à marque propre en France et d’un centre direct en Belgique. Avec cette acquisition, Erfo entre sur les marchés français et belge et ajoute de nouveaux éléments au format Dietnatural, notamment de nouvelles méthodologies et approches du coaching nutritionnel, combinées à la commercialisation de compléments alimentaires et de soins de beauté avec des outils innovants.

La transaction – soutenue par les fonds propres d’Erfo – prévoit l’acquisition par Erfo d’une participation majoritaire de 65 % dans BodySano pour 845 000 euros et l’acquisition par BodySano, contre un prêt accordé par Erfo, de la marque “BodySano” et de droits de propriété intellectuelle supplémentaires, actuellement détenus par la société luxembourgeoise BodySano SA, ainsi que de 100 % des actions de la société belge The Healty Coach SPRL, qui gère le centre direct à Bruxelles, pour un total de 160 000 euros.

Dieter Struye, directeur non food, quitte Colruyt Group

Dieter Struye n’est plus le directeur non food de Colruyt Group, RetailDetail apprend de bonne source. Le haut dirigeant était à la tête des chaînes Dreamland, Dreambaby, Bike Republic et The Fashion Society depuis février 2018.

Consolidation du marché des vélos

Le mandat de Dieter Struye au sein du groupe Colruyt s’achève après quatre ans. En février 2018, il a pris le poste de directeur non alimentaire à Halle pour diriger les chaînes Dreamland et Dreambaby. Sous son impulsion, le groupe Colruyt a mis fin à la boutique en ligne non alimentaire Collisho et le détaillant s’est lancé sur le marché en consolidation des vélos avec l’acquisition de la chaîne de magasins de vélos Fiets !, qui a été rebaptisée Bike Republic et travaille à une solide expansion.

Avant de rejoindre le groupe Colruyt, Dieter Struye a travaillé chez Unilever pendant plus de dix ans, puis est devenu directeur des ventes chez Danone, et directeur général des chaînes de bricolage Brico et Brico Planit du groupe Maxeda DIY. Il doit maintenant chercher un nouveau défi.

Une concurrence accrue

RetailDetail a contacté Dieter Struye par téléphone, mais le dirigeant n’a pas souhaité faire de commentaires. Il est clair qu’il travaillait dans un contexte difficile : Colruyt Group lutte depuis un certain temps pour sa rentabilité. Tant dans les supermarchés que dans le secteur non alimentaire, les marges sont sous pression et la concurrence s’intensifie. Il est certain que Dreamland et Dreambaby subissent la pression de la croissance du commerce électronique.

Le détaillant a connu d’autres changements dans son comité exécutif l’année passée : le directeur opérationnel Marc Hofman a pris sa retraite et a été remplacé par les directeurs Jo Willemyns et Stefan Goethaert. Récemment, Colruyt a également fait ses adieux à son directeur de marketing, Guy Elewaut.

(Retaildetail)

Peu d’intérêt des foodretailers pour la semaine des 4 jours introduite chez Action

Le discounter non-alimentaire Action a introduit au début de cette année dans notre pays la semaine de quatre jours. 10% du personnel l’utilise. La plupart des autres retailers ne semblent pas intéressés.

Depuis le début de cette année, le personnel des magasins belges d’Action peut opter pour une semaine de travail de quatre jours, correspondant en réalité à une semaine de cinq jours mais prestée en l’espace de quatre jours. Une telle formule n’est possible qu’avec le consentement mutuel de l’employeur et de l’employé. Notre pays a introduit la semaine de travail de quatre jours en novembre de l’année dernière, afin de permettre aux employés de mieux concilier vie professionnelle et vie privée, et pour maintenir les personnes plus longtemps au travail. Pour les entreprises, la semaine de quatre jours peut être un atout pour attirer du personnel à un moment où le marché du travail est en déficit. Action a introduit un amendement à la convention collective de travail, permettant aux collaborateurs travaillant jusqu’à 28 heures par semaine de tester la semaine de quatre jours, sans obligation. Si le test s’avère décevant, ils peuvent revenir à leur ancienne grille horaire, a expliqué au quotidien De Morgen Kevin Kiggen du syndicat ACV Plus. Selon le syndicat, 80% du personnel du secteur du retail est intéressé par l’idée. Chez Action, quelque 300 personnes sur un total de 3 000 employés se sont inscrites à ce jour.

Parmi les foodretailers de notre pays, l’introduction de la semaine de quatre jours ne suscite que peu ou pas d’intérêt. “Le groupe Colruyt l’a examiné pour nos départements ventes et logistique, mais nous n’allons pas l’introduire”, réagit Hanne Poppe, porte-parole. “Pour assurer la vente, nous devons être en mesure de garantir les heures d’ouverture. Compte tenu de de ce marché du travail très étriqué, il n’est donc pas opportun de l’introduire. Dans la logistique, nous travaillons en équipes, ce qui rendrait l’organisation d’une telle formule difficile. Cependant, nous essayons d’offrir de la flexibilité d’une autre manière, par le biais de solutions telles que la définition de ses propres grilles horaires pour notre personnel de vente, via des congés thématiques, un nouveau cadre pour le travail à temps partiel, etc… . Nous constatons également qu’il n’y a pas ou peu de demande pour cette mesure parmi nos collègues de travail.”

Lidl Belgique ne voit pas non plus d’utilité particulière à la semaine de travail de quatre jours, nous déclare Isabelle Colbrandt. “Nous avons examiné cette possibilité de manière approfondie et avons conclu que nous la proposerions pas pour l’instant à nos collaborateurs. Pour certains départements et certaines fonctions, une semaine de travail de quatre jours ne serait pas envisageable aujourd’hui. Nous avons par exemple de nombreuses tâches opérationnelles qui nécessitent des niveaux minimums de personnel au quotidien. Une semaine de travail de quatre jours représenterait un risque pour la continuité de ces activités et nous voulons éviter que cela n’augmente la charge de travail des autres collègues de ces départements.”

Inflation alimentaire : Fevia évoque un effet de rattrapage

Fevia explique la hausse de l’inflation alimentaire, dont le niveau élevé a été annoncée hier, par la répercussion tardive de l’explosion des coûts et l’impact de l’indexation salariale de 10,96 %. 

Les chiffres de Statbel ont établi hier que l’inflation sur les produits alimentaires était particulièrement élevée, puisque atteignant 15,5 % en janvier. Fevia rappelle que les coûts de production alimentaire ont augmenté au cours des deux dernières années :matières premières, énergie, emballages, transport… Mais les entreprises alimentaires belges ont eu très peu et trop tardivement la possibilité de répercuter l’augmentation de ces coûts sur leurs clients, explique la Fédération.

A cette augmentation s’est ajoutée, en janvier, l’indexation des salaires de 10,96 % et, pour un quart des entreprises alimentaires, le passage d’un contrat d’énergie fixe à un contrat variable plus coûteux. Cette accumulation de hausses des coûts  explique pourquoi les prix en magasin des produits alimentaires et boissons ont augmenté avec un certain retard au cours des derniers mois, dit Fevia, qui ignore si, et si oui à quelle échéance, ces prix pourraient baisser. Mais Bart Buysse, le CEO de Fevia, exhorte les responsables politiques à ne surtout pas faire peser sur les entreprises du secteur de nouvelles charges ou taxations qui, dans ce contexte, aggraveraient la situation.

(Gondola)

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