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Retail, Franchising & Co

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November 2022

Gain de temps d’une heure et demie pour les collaborateurs Colruyt qui remplissent les rayons

Gain de temps d’une heure et demie pour les collaborateurs Colruyt qui remplissent les rayons

Une technologie innovante, fonctionnant par le biais d’un smartphone relié aux étiquettes de prix électroniques, assure un gain de temps lors du remplissage des rayons

À partir d’aujourd’hui, les collaborateurs en magasin chez Colruyt travailleront à l’aide de la nouvelle technologie Product Finder. Récemment, les 16.000 collaborateurs de Colruyt Group ont tous reçu un smartphone afin de faciliter leur travail quotidien. Une nouvelle application remarquable fait l’objet d’un test aujourd’hui : au moyen d’un lecteur de code-barres relié à leur appareil, les collaborateurs en magasin peuvent scanner un produit qu’ils souhaitent ranger dans les rayons. Après le scan, l’étiquette électronique en question s’allume et montre l’endroit où le produit doit être rangé. Un gain de temps potentiel d’une heure et demie lors de l’approvisionnement des rayons. Cette nouvelle technologie, développée par l’équipe d’innovation de Smart Technics chez Colruyt Group, a été testée avec succès dans les magasins Colruyt de Poperingen et d’Heverlee. Aujourd’hui, elle est également introduite dans le magasin de Hal. Le déploiement complet est prévu pour 2023.

Entre 2017 et 2019, l’ensemble des collaborateurs en magasin chez Colruyt Meilleurs Prix, OKay et Bio-Planet ont reçu un smartphone. L’équivalent de 16.000 exemplaires. Grâce à ces smartphones, les collaborateurs sont en mesure de communiquer entre eux et avec les services centraux, par téléphone ou par messages. Ils peuvent également demander des informations à propos de livraisons, modifier les étiquettes de prix électroniques, lire des mails et visionner des formations en ligne. Désormais, une nouvelle fonctionnalité vient s’y ajouter pour aider les collaborateurs lors de l’approvisionnement des rayons. Une tâche qui, notamment au rayon vin, peut s’avérer très chronophage.

Jean-Christophe Burlet, directeur régional Colruyt Meilleurs Prix : « Il y a quelques années, les collaborateurs en magasin des enseignes alimentaires de Colruyt Group ont reçu un smartphone et nous avons équipé tous nos magasins d’étiquettes électroniques. Le choix de l’époque était délibéré, car nous savions que les deux appareils pourraient communiquer entre eux. Aujourd’hui, nos équipes d’innovation ont développé une nouvelle technologie innovante permettant d’économiser une heure et demie par jour lors de l’approvisionnement des rayons. Et ce, dans les 249 magasins Colruyt Meilleurs Prix. Cette nouvelle application s’intègre dans nos ambitions visant à faciliter la vie des collaborateurs en magasin grâce à la numérisation et l’innovation, et leur permettre d’effectuer leur travail de manière plus efficace et sereine. En effet, le bien-être de nos collaborateurs est crucial à nos yeux. Le fait de pouvoir rendre le processus également plus économique est un bonus non négligeable. »

L’application en question a été développée en interne et est installée sur le smartphone des collaborateurs : s’ils scannent le code-barres d’un article lors de l’approvisionnement journalier des rayons, l’étiquette électronique du produit concerné s’illumine automatiquement. De cette manière, le collaborateur repère directement la place précise du produit dans les rayons et sa tâche devient plus facile et rapide : un gain de temps pouvant aller jusqu’à une heure et demie par jour et par magasin.

La nouvelle technologie a fait l’objet d’un test approfondi et couronné de succès dans les magasins Colruyt Meilleurs Prix de Poperinge et d’Heverlee. Actuellement, le test est en cours dans l’un des plus grands magasins, le Colruyt de Hal. Jean-Christophe Burlet: « Nous avons pu tester la nouvelle technologie innovante dans deux magasins et sommes extrêmement enthousiastes. Chez Colruyt, près de 18 000 produits garnissent les rayons et leur place est généralement facile à trouver. Mais parfois, retrouver un produit précis parmi tous les autres s’avère compliqué. Par exemple, au rayon épices, dans lequel se trouvent beaucoup de petits produits, ou au rayon vin qui compte de nombreuses sortes différentes. Nos collaborateurs accueillent cette technologie avec enthousiasme. » Au second semestre 2023, tous les magasins Colruyt devraient être équipés avec la nouvelle technologie. Les magasins OKay suivront ensuite.

À l’avenir, Colruyt Group entend également étudier d’autres applications potentielles liées à cette nouvelle technologie. Jean-Christophe Burlet: « Nous utilisons en premier lieu cette technologie pour l’approvisionnement des rayons en magasin, une tâche pour laquelle elle peut nous faire gagner beaucoup de temps et, par conséquent, générer un bon rendement. Lors d’une phase ultérieure, nous déterminerons si l’application peut être utilisée dans d’autres domaines, comme pour rassembler les commandes que les clients passent chez Collect&Go, ou pour retrouver rapidement les produits qui approchent de leur date de péremption. Aujourd’hui, notre priorité reste de faciliter le travail de nos collaborateurs, mais nous étudions bien sûr les possibilités d’une utilisation par les clients, éventuellement par le biais de l’app Xtra existante. »

Black Friday dépasse les attentes : hausse des ventes pendant toute la semaine

Black Friday a été un succès inattendu, même si le jour lui-même perd de sa pertinence en tant que journée d’achat distincte. Pendant toute la semaine, les détaillants belges ont vendu presque chaque jour moitié plus de produits qu’il y a un an.

67 % de ventes supplémentaires

Black Friday a suscité beaucoup d’incertitude cette année : les consommateurs se laisseraient-ils aller à faire des achats en ces temps de forte inflation ? Et les détaillants se lanceront-ils dans des remises importantes ou préféreront-ils vendre leurs précieux stocks au prix plein ?

Les craintes étaient infondées, estime le spécialiste des paiements Klarna : le vendredi 25 novembre, le Black Friday lui-même, les ventes chez les détaillants belges ont augmenté de 67 % par rapport à l’année dernière. Le centre commercial des Docks à Bruxelles a même atteint un nouveau record de fréquentation le lendemain, le samedi 26 novembre, avec plus de 45 000 visiteurs, soit 15 % de plus que lors des pics habituels des samedis de décembre ou de janvier.

Une semaine de bonnes affaires

En ligne, les boutiques belges ont vu leur chiffre d’affaires augmenter de seulement 0,87 %, à peine plus que l’année dernière, nuance toutefois le fournisseur de paiements Mollie. Les Belges auraient été plus prudents que le reste du monde, où les ventes ont augmenté de 14,5 %. Ce sont surtout les Millennials belges qui ont fait la chasse aux bonnes affaires : ils ont représenté pas moins de 54% du volume des ventes. La génération X (définie ici comme le segment entre 41 et 56 ans) suit de loin avec 25 % des achats.

Un point sur lequel tout le monde est d’accord : le Black Friday n’est plus un jour de solde, mais donne lieu à une semaine entière de remises. Certains l’appellent la Black Week, d’autres la Cyber Week, mais ce qui est certain, c’est que les ventes ont fortement augmenté au cours de cette période. Les détaillants belges ont vu leurs volumes de ventes en ligne augmenter de 10,47 % selon Mollie, Klarna parle de 67 % de ventes supplémentaires. Le samedi en particulier a vu les volumes de ventes plus que doubler (+131 %), mais le Cyber Monday ne laisse pas non plus à désirer. Lundi a enregistré une augmentation de 73 %.

Des achats vite regrettés

Cette année, les consommateurs ont profité des bonnes affaires du Black Friday pour faire leurs achats de Noël en avance et en répartir les coûts. Les consommateurs ont ainsi dépensé plus que prévu, ce qui constitue également un indicateur intéressant pour la saison des fêtes. « Même si nous sommes un peu plus optimistes qu’auparavant, il est clair que certains secteurs vont connaître des difficultés, » déclare Ken Serdons, le CCO de Mollie.

Cette prudence est encore renforcée par le fait que le post-paiement est en hausse, tandis que le nombre de retours a également augmenté cette année-ci. Les gens n’ont pas tardé à regretter leurs achats : dans le monde entier, il y a eu 60 % de retours en plus pendant le week-end après Black Friday par rapport à l’année précédente. Les Allemands, en particulier, ont retourné leurs achats en masse : 88 % de plus qu’en 2021. (Retaildetail)

Ahold Delhaize emmène ses fournisseurs et ses clients en mission climatique

Ahold Delhaize met à jour ses objectifs climatiques, en se concentrant sur ses fournisseurs, ses produits et ses clients. Les fournisseurs doivent réduire leurs émissions, alors que les magasins proposeront davantage de produits végétaux.

Au tour des fournisseurs

Comme de nombreuses autres multinationales, Ahold Delhaize a promis de devenir climatiquement neutre en 2050 : les émissions de CO2 doivent atteindre un niveau net zéro dans toute la chaîne de valeur. Aujourd’hui, c’est au tour des clients et des fournisseurs de faire leur part, estime le groupe de supermarchés. D’ici 2030, les émissions de cette partie externe de la chaîne de valeur (soit 3) doivent diminuer d’au moins 37 %.

Une nouveauté est qu’Ahold Delhaize ne se base plus sur 2018, mais utilise 2020 comme base de référence. Les émissions de CO2 doivent donc baisser de 37 % par rapport à 2020 et non par rapport à 2018, comme c’était le cas auparavant. Par conséquent, les « milliers de fournisseurs, producteurs et agriculteurs qui fournissent des centaines de milliers de produits vendus quotidiennement à des millions de clients aux États-Unis et en Europe » devront faire des efforts supplémentaires.

Quant aux fournisseurs, Ahold Delhaize dit vouloir les encourager et les aider à se fixer des objectifs de réduction des émissions propres, fondés sur des données scientifiques. Entre autres, les déchets alimentaires, les emballages et le transport sont censés diminuer de cette manière. « Nos marques peuvent apporter leur contribution en soutenant leurs fournisseurs et leurs agriculteurs par des actions environnementales concrètes. Ils peuvent le faire, par exemple, en concluant des contrats à long terme avec les agriculteurs, » explique Jan Ernst de Groot, directeur du développement durable d’Ahold Delhaize.

Plus de options végétaux

Au niveau des produits, Ahold Delhaize souhaite inclure davantage de produits végétaux dans sa gamme, bien que le groupe de supermarchés veuille également développer des gammes générales « à faibles émissions ». Albert Heijn montre déjà l’exemple : d’ici 2030, elle souhaite distribuer 60 % de protéines végétales et 40 % de protéines animales. Les autres enseignes européennes fixeront également un tel « ratio protéique » d’ici la fin 2024.

Outre le nombre d’options végétaliennes et végétariennes, Ahold Delhaize promet d’encourager et de récompenser les choix plus durables des clients avec des programmes de fidélité et des remises. Le programme de réduction Nutri-Boost de Delhaize en est déjà un exemple. En outre, le groupe souhaite accroître la transparence des produits grâce à des systèmes de navigation et à l’étiquetage des produits. En général, le groupe souhaite renforcer la connaissance et la sensibilisation à un mode de vie sain.

En ce qui concerne ses propres activités (scope 1 et 2), Ahold Delhaize s’engage toujours à atteindre l’objectif de zéro émission nette d’ici 2040, avec un objectif intermédiaire de réduction de 50 % d’ici 2030. (Retaildetail)

Aldi ouvre un magasin compact adapté à Bruxelles

Magasin urbain avec des prix bas

Mercredi matin, Aldi a ouvert son 23ème magasin bruxellois, Avenue de la Couronne à Ixelles, près du campus universitaire. Avec une superficie d’à peine 600 m², il ne fait que la moitié de la taille d’un Aldi moderne typique. Il ne s’agit pourtant pas d’un concept ‘City’ adapté: le discounter y vend toute sa gamme de 1 600 références, mais sur une surface limitée. Le détaillant répond ainsi au comportement d’achat des citadins, qui viennent plus souvent pour acheter des paniers plus petits.

L’offre dans les magasins urbains est la même qu’ailleurs, bien que proportionnellement il y ait un peu plus de place pour des catégories comme le frais et le halal. Les prix bas permettent au discounter de se différencier des autres magasins de proximité. « Dans les magasins urbains des autres détaillants alimentaires, les prix sont souvent plus élevés, mais pas chez nous », déclare Erik Winters, qui dirige la centrale Aldi de Zemst. « Nous sommes l’un des rares à appliquer encore des prix nationaux. » Aldi considère donc ces prix bas dans un magasin de proximité comme un atout unique à Bruxelles.

Avec un nouveau format de magasin compact, Aldi veut devenir le supermarché de quartier de Bruxelles. Le discounter a déjà au moins six nouveaux projets dans le pipeline, représentant ensemble un investissement de 35 millions d’euros.

Petits chariots

L’espace disponible dans le centre-ville étant limité, Aldi l’utilise de manière créative. Il utilise des chariots de supermarché plus petits et plus étroits. Cela permet également d’avoir des allées plus étroites. Les produits ont moins de facings, mais les étagères sont un peu plus profondes pour accueillir plus de stock. Il n’y a pas de faux plafond pour la sensation d’espace, les îlots de congélation classiques ont été remplacés par des unités murales peu encombrantes. Il n’y a que trois caisses, avec un tapis roulant extra court. Le stock est au sous-sol. Comme les citadins et les étudiants utilisent de moins en moins la voiture, le parking est limité à 10 places.

Aldi n’exclut pas de déployer ce concept de magasin compact dans d’autres villes, mais pour l’instant, l’accent est mis sur la capitale. « C’est une ville dont la population est en pleine croissance. Nous voyons beaucoup de potentiel, nous voulons nous rapprocher des Bruxellois et devenir le supermarché de quartier de la capitale », déclare Geert De Roy, responsable de l’expansion. En particulier dans le sud et l’est de la ville, il voit encore des opportunités. Aldi y construit de nouveaux magasins, mais réaménage également les propriétés existantes pour faire place à des projets à usage mixte.

Pour les deux prochaines années, Aldi a des projets en cours à Schaarbeek (2), Evere, Eigenbrakel, Uccle et Grimbergen. Ensemble, ils représentent un investissement de 35 millions d’euros. Ces nouveaux magasins Aldi bruxellois ne seront pas tous compacts : cela dépend de la situation locale. (Retaildetail)

H&M va supprimer 1 500 emplois

FILE PHOTO: The H&M clothing store is seen in Times Square in Manhattan in New York

Le détaillant de mode suédois H&M va supprimer quelque 1 500 emplois dans le cadre de sa politique de réduction des coûts et comptabiliser une charge de restructuration de 800 millions de couronnes suédoises (73,3 millions d’euros) au quatrième trimestre, a-t-il déclaré mercredi.

En septembre, H&M, a lancé un plan visant à économiser 2 milliards de couronnes suédoises (183 millions d’euros) par an.

« Media Markt est le grand gagnant du Black Friday (électronique) »

La chaîne allemande Media Markt est sortie vainqueur du dernier Black Friday sur le marché belge de l’électronique, affirme l’entreprise spécialisée dans le ‘big data’ au service des retailers, Accurat. La grand-messe des promotions n’a par ailleurs jamais été aussi populaire chez nous que cette année.

Véritable phénomène de consommation venu des États-Unis il y a quelques années, le Black Friday ne cesse de gagner en popularité en Belgique, comme tendent à le confirmer les chiffres de la cuvée 2022. C’est notamment le cas des données dévoilées lundi par Accurat et portant sur le marché de l’électronique, la catégorie-reine de la grand-messe promotionnelle, en magasins physiques. « Lorsque nous comparons les visites d’un vendredi moyen dans les chaînes d’électronique ces dernières semaines avec les visites pendant le Black Friday, nous identifions un vainqueur clair », explique Bart Muskala, CEO de l’entreprise gantoise spécialisée dans le ‘big data’. « Non seulement l’ensemble des magasins ont reçu davantage de visites, mais en plus Media Markt est parvenu à renforcer sa position relative sur le marché par rapport à ses concurrents directs (Eldi, Selexion, Krëfel, Vanden Borre, ndlr). » Pour arriver à cette conclusion, Accurat s’est basé sur sa technologie phare qui consiste à analyser le comportement de déplacement de plus de 300.000 Belges dans le monde réel.

La comparaison des parts de marché entre un vendredi normal et le Black Friday :

Communiqué Accurat 28/11/2022
©Accurat

Autre fait notable : en s’intéressant aux chiffres de fréquentation de la chaîne les semaines et les jours précédant le Black Friday, Accurat a pu constater que Medi Markt avait attiré plus de visiteurs les jours précédant le D-Day de la promo l’année dernière, tandis que cette année le boom de croissance s’est concentré sur le seul vendredi. Un phénomène qui ne semble toutefois pas s’être vérifié partout.

Le Black Friday plus populaire (et plus long) que jamais

En effet, selon les chiffres d’une enquête menée par le spécialiste des paiements en ligne Klarna, en collaboration avec le cabinet d’études Nepa, le Black Friday dure désormais… 8 jours : sur l’ensemble de la période de la Black Week (21/11 au 24/11), du Black Friday (25/11) et du Cyber Monday (28/11), les achats ont augmenté de 67% par rapport à la même période l’année dernière, affirme l’entreprise. Dans le détail, les ventes en ligne et en magasin ont augmenté de 66% le lundi, de 56% le mardi, de 7% le mercredi, de 53% le jeudi, de 67% le vendredi, de 131% le samedi, de 62% le dimanche, et 73% le lundi 28 novembre, ressort-il de cette étude réalisée en ligne auprès d’un échantillon représentatif d’au moins 1.000 Belges.

Toujours selon l’entreprise suédoise, qui travaille avec plus de 24 000 magasins en Belgique, le Black Friday n’a par ailleurs jamais été aussi populaire chez nous. « Malgré le débat public autour des journées de promotion dans le retail, le Black Friday et les jours qui l’entourent demeurent l’une des occasions de shopping les plus populaires de l’année », estime Wilko Klaassen, à la tête de Klarna Belgique. « Il fallait attendre de voir comment cette semaine se déroulerait cette année, car de nombreux consommateurs ont été frappés par l’inflation des prix ces derniers mois et ont dû ajuster leurs habitudes de dépenses en conséquence. Sur la base des chiffres, nous constatons que de nombreux consommateurs considèrent en fait cette période de promotion comme une occasion de faire attention aux prix et d’acheter des cadeaux moins chers pour les fêtes ou d’effectuer un achat important avec une forte remise. » (Gondola

Revenus… et pertes en hausse pour Vinted !

La plateforme de vêtements de seconde main Vinted a connu une forte croissance de ses revenus l’année dernière, mais a parallèlement vu ses pertes augmenter. C’est ce qui ressort du rapport annuel déposé par Vinted auprès de la Chambre de commerce britannique.

Le chiffre d’affaires de Vinted est passé de 148 à 245 millions d’euros en un an, soit une croissance de 60 %. Mais dans le même temps, les pertes ont également augmenté, passant de 24 à 118 millions d’euros. La raison principale est le niveau des dépenses de marketing : Vinted a investi pas moins de 193 millions d’euros dans des spots télévisés et d’autres publicités, ce qui lui assure une présence importante dans de nombreux foyers européens. Par rapport à 2020, Vinted y a consacré trois fois plus d’argent. 

Cette lourde perte n’inquiète pas l’entreprise. “Les dirigeants pensent pouvoir faire fonctionner Vinted avec un flux de trésorerie positif pour 2021, mais ils ont décidé de consacrer une partie de la trésorerie restante au marketing pour accélérer la croissance de l’entreprise”, peut-on lire dans un communiqué accompagnant le bilan annuel. Comme beaucoup de start-ups, Vinted veut investir dans la croissance et la part de marché, sans se soucier beaucoup des profits ou des pertes. Les investissements ne devraient rapporter des bénéfices qu’à un stade ultérieur. (Gondola)

Image du jour

Garden Gourmet lance Voie Gras, une alternative végétale au foie gras. A l’approche des Fêtes, il permettra aux épicuriens sensibles au bien-être animal de se faire plaisir sans aucun remord.

Voie Gras est fabriqué par Nestlé au Centre de Recherche et de Développement de Singen, à la frontière suisse.

McDonald’s ouvre sa 103ème franchise à Gembloux

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Le 29 novembre 2022 s’est ouvert le 103ème restaurant McDonald’s en Belgique à Gembloux sur la Chaussée de Tirlemont (1 rue des Orchidées) sous la direction de la multifranchisée Valérie Bovy. Une occasion pour découvrir ce nouveau restaurant et y rencontrer sa franchisée.

Ce restaurant d’une surface de 500 m² est le premier en Belgique en béton,”one of a kind”, tout comme l’ensemble des autres bâtiments dont un supermarché Aldi, qui compléteront le nouveau site. Dans le style moderne de décoration Geometry, il propose 150 places assises à l’intérieur et 32 sur la terrasse pour des températures plus clémentes, 4 doubles bornes de commande digitales (90% des commandes actuellement), des tables avec prises pour le wi-fi sans oublier l’aire de jeux pour les enfants. D’autre part, il est équipé d’un double drive-in.

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Comme dans la plupart des restaurants de l’enseigne, les clients bénéficient de   la préparation des burgers à la minute une fois la commande passée et du service à table.

Recrutement et formation

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L’ouverture d’un restaurant est avant tout une aventure humaine et un challenge. Valérie Bovy a débuté ce projet dès septembre avec la phase de recrutement d’une nouvelle équipe de 55 collaborateurs dont 4 nouveaux managers, ont reçu une formation de 6 à 8 semaines, afin d’acquérir des compétences pratiques comme les règles d’hygiène et de sécurité alimentaire, ainsi que des compétences transversales, telles que le travail en équipe et le service au client. De nombreux étudiants ont également rejoint l’équipe et ont été formés pendant quelques jours. Ces formations ont pris place dans les 3 autres restaurants de la franchisée.

Il faut signaler que le directeur du McDonald’s de Gembloux, Anthony Cartigny, qui travaille pour l’enseigne depuis 14 ans dont 6 comme directeur, a reçu le Ray Kroc Award 2022 lors de la dernière convention mondiale de l’enseigne, qui récompense les meilleurs directeurs parmi tous les réseaux mondiaux de McDonald’s !

Des initiatives durables 

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Le McDonald’s de Gembloux ne fait pas l’exception en matière de durabilité, l’un des élément important pour l’enseigne, on y trouve de nombreuses initiatives durables comme : le Green Truck, le système de gestion des déchets propre à McDonald’s, l’optimalisation du tri des déchets dans le restaurant, des panneaux solaires, l’utilisation de matériaux de construction durables, des mesures d’économie d’énergie (chaudières à basse consommation, pompes à chaleur, groupes frigorifiques, etc.), la récupération de l’eau, deux points de recharge pour les voitures mis à disposition des clients sur le parking commun, et la collecte journalière des déchets aux abords du restaurant.

On peut aussi noter les nouvelles poubelles pour le tri sélectif des déchets dans le restaurant.

 Une multifranchisée expérimentée aux commandes

Une 4ème franchise et une seconde ouverture pour Valérie Bovy en 10 années chez McDonald’s. L’ouverture de sa première franchise à La Bascule à Uccle en 2014, suivie par la reprise du McDonald’s de Grand Bigard dans le Brabant flamand en mars 2015, qui sera échangé un an plus tard pour celle d’Overijse. En octobre 2021, elle devient franchisée du McDonald’s de Namur.

Valérie est aujourd”hui l’une des 3 franchisées du réseau belge sur un total de 35 (?) franchisés et également franchisée de seconde génération tout comme Wavier Vaesen (Waremme), Mark De Herdt (Bruges, Maldegem) et Nancy Haeren (Mol, Lommel, Geel, Turnhout, Beerse). 

Maman de deux enfants, Valérie a un agenda plus que chargé avec la visite quotidienne de 2 de ses restaurants et aussi actuellement avec la restauration des McDonald’s de La Bascule qui devra rouvrir le 9 de ce mois, d’Overijse le 16 décembre et Namur le 31 janvier 2023.. Pour faire face à sa charge importante de travail, elle a été rejointe par son mari, ingénieur civil de formation, qui s’occupe plus spécifiquement des ressources humaines (plus de 250 employés) et de l’aspect comptable des opérations. 

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