Verlinvest entre au capital de Tom&Co, qui se donne les moyens d’accélérer sa croissance en Europe

Tom&Co, l’enseigne de franchise belge d’animalerie spécialisée, a signé un accord avec Verlinvest, holding d’investissement d’origine belge, prévoyant l’entrée de cette dernière dans le capital de la chaîne de magasins. Dans le cadre de cette opération, qui doit encore être approuvée par les autorités de la concurrence, l’apport de nouveaux capitaux va permettre à Tom&Co d’accélérer son rythme de croissance et de devenir un acteur incontournable en Europe.

Expansion de la chaîne et effervescence autour des animaux de compagnie

Tom&Co a vu le jour, en 1991, à Jette. En 30 ans, l’enseigne, soutenue par ses franchisés, a connu une forte expansion pour devenir une marque reconnue et une animalerie de plus en plus spécialisée. Aujourd’hui leader en Belgique et en forte croissance en France, elle se différencie sur le marché grâce à son expérience de shopping omnicanal, ses produits exclusifs, ses services et ses conseils d’expert, afin de répondre aux besoins sans cesse plus pointus de ses clients. La chaîne belge et indépendante compte aujourd’hui 180 magasins dont 129 en Belgique, 2 au Luxembourg et 49 en France. 

Tom&Co a enregistré des résultats record au cours de ces deux dernières années. Ses ventes ont progressé de 15% en 2020 et de 10% en 2021 pour atteindre les 264 millions d’euros.

« Boosté par l’effervescence qui entoure les animaux de compagnie, désormais considérés comme des membres à part entière de la famille, notre secteur affiche une santé florissante et affiche une belle croissance ces dernières années, explique Thierry le Grelle, le CEO et co-actionnaire de l’entreprise. Grâce aux importants investissements que nous avons réalisés et au dynamisme de nos franchisés, Tom&Co est en pleine expansion. »  

Un nouvel actionnaire stratégique pour devenir un leader européen

Fondée à Bruxelles en 1995 par des familles actionnaires d’AB InBev, Verlinvest investit essentiellement dans des entreprises en forte croissance, actives dans les produits de grande consommation, les soins et la santé ainsi que dans le digital. Verlinvest accompagne ainsi actuellement une trentaine de sociétés en Europe, en Asie et aux Etats-Unis dans leurs projets de développement.

« Nous sommes très heureux d’accueillir Verlinvest comme nouvel actionnaire car Verlinvest partage notre vision à long terme et est experte dans la construction de marques fortes », se réjouit Thierry le Grelle. « Sa connaissance dans le domaine des biens de grande consommation et du digital ainsi que son réseau international vont nous permettre d’accélérer notre expansion en Europe, particulièrement en France et au Benelux, le développement de nos marques exclusives et notre transformation digitale. Avec le soutien de ce nouvel actionnaire, nous allons pouvoir participer activement à la consolidation du secteur en procédant à des acquisitions et ainsi réaliser notre ambition de devenir un leader sur le marché européen. »   

« Le marché européen des animaux de compagnie offre d’énormes opportunités pour un acteur tel que Tom&Co, qui a créé une marque forte en Belgique et en France et offre des produits spécialisés ainsi qu’un excellent service à la clientèle », complète Roberto Italia, CEO de Verlinvest. « En nous appuyant sur notre expérience régionale et sectorielle, dans le domaine des produits pour animaux de compagnie et des produits de grande consommation en général, nous sommes bien placés pour soutenir Tom&Co au cours de cette prochaine période de croissance et réaliser les ambitions européennes de ce fleuron belge de la distribution ainsi qu’impatients de commencer ce partenariat avec Thierry, son équipe talentueuse et le réseau de franchisés exceptionnels de Tom&Co. »

A propos de Verlinvest

Verlinvest est une société internationale d’investissement ‘evergeen’, détenue par la famille Spoelberch. Elle s’associe à des entrepreneurs visionnaires qui sont à l’origine de révolutions dans le domaine de la consommation et qui créent la prochaine génération de marques qui auront un impact positif sur le secteur de la consommation dans les années à venir. Fondée à Bruxelles en 1995, avec des bureaux également à New York, Londres, Bombay et Singapour, Verlinvest se concentre sur les entreprises en phase de croissance dans les secteurs des produits de grande consommation, de la santé et des soins, ainsi que des plateformes digitales, qui sont impatientes d’accélérer leur croissance. La société dispose de plus de 2 milliards d’euros d’actifs sous gestion et compte dans son portefeuille des marques telles que Oatly, Vita Coco, Tony’s Chocolonely, Heads Up For Tails et Who Gives A Crap, ainsi que des  ‘alumni’ tels que Chewy.com, Vitaminwater et Remy Cointreau.

Réouverture du OKay rénové de Fleurus le 1 juin : un supermarché de proximité désormais durable

Le mercredi 1 juin, le magasin OKay de Fleurus rouvrira ses portes à l’issue d’un mois de rénovations en profondeur. Le supermarché d’une surface de 600 m² adopte le style des magasins de nouvelle génération avec, notamment, une consommation énergétique repensée, des meubles réfrigérés supplémentaires et un coin boulangerie de dernière génération. La store manager Stephanie Guillaume et son équipe de 9 collaborateurs invitent avec plaisir les riverains à venir découvrir leur supermarché de proximité rénové.

Un aménagement moderne respirant la fraîcheur

Grâce à un aménagement moderne empreint de fraîcheur, le magasin OKay de Fleurus assure un meilleur service à ses clients. Le supermarché mise encore davantage sur l’offre de produits frais comptant parmi les atouts de l’enseigne : fruits et légumes, produits laitiers, viande, charcuterie, poisson et plats préparés. Stephanie explique : « Dans le freshmart, les larges allées rendent l’expérience particulièrement agréable. Le vaste assortiment de fruits et légumes frais du jour y est bien mis en valeur. À proximité du freshmart, nous disposons d’un meuble dans lequel nous proposons une gamme variée d’amuse-bouches à base de viande, de poisson et de légumes pour un délicieux apéro entre amis ou en famille. »

Un coin boulangerie repensé

Au OKay de Fleurus, du pain frais est livré chaque jour et les collaborateurs cuisent eux-mêmes des viennoiseries et des petits pains de qualité plusieurs fois par jour. Toutes ces gourmandises sont joliment présentées dans le coin boulangerie caractérisé par son aspect pratique. Stephanie : « Notre coin boulangerie est très ergonomique et très simple d’utilisation, tant pour les clients que pour nos collaborateurs. » Au rayon surgelés se trouvent des congélateurs avec des couvercles en verre. De cette façon, nos clients peuvent trouver rapidement et facilement leurs produits préférés.

Facilement accessible

Situé au 500 de la chaussée de Charleroi, une voie d’accès importante, le magasin est facilement accessible aux voitures. Il dispose désormais de 45 places de parking. « Toutefois, nos clients peuvent délaisser la voiture et venir faire leurs courses à vélo s’ils le souhaitent. Ils peuvent à présent garer leur vélo sur le parking prévu à cet effet, » déclare Stephanie.

Empreinte environnementale minimale

À l’image des autres enseignes de Colruyt Group, OKay accorde beaucoup d’importance à l’aspect durable de ses bâtiments, avec une empreinte environnementale aussi réduite que possible. « Dans le magasin de Fleurus, nous ne consommons plus d’énergies fossiles, telles que le gaz ou le gasoil, » explique Stephanie. « La chaleur résiduelle de la réfrigération est récupérée, ce qui réduit de 90 % les émissions de gaz à effet de serre provenant du chauffage. De plus, notre éclairage LED consomme 30 % d’énergie en moins et notre système de refroidissement fonctionne au propane, un réfrigérant naturel bien meilleur pour l’environnement que les alternatives chimiques. Ceci permet une baisse de 90 % des émissions de CO₂ en comparaison avec un système de refroidissement traditionnel. »

En outre, la façade du magasin a été traitée avec une peinture qui décompose les substances nocives présentes dans l’air. Grâce à l’action de la lumière du soleil, cette peinture transforme les oxydes d’azote, l’ozone et les polluants organiques en nitrate et en oxygène. Sous l’effet de la pluie, les nitrates sont ensuite dissous et emportés. La qualité de l’air se voit donc améliorée.

DATS 24 ouvre une station-service publique à hydrogène à Wilrijk le long de l’autoroute A12

La nouvelle station H2 près de Cardoen sur l’autoroute A12 donne le signal de départ pour l’ouverture de cinq nouvelles stations-service publiques à hydrogène en Belgique

DATS 24, le fournisseur d’énergie et de carburant de Colruyt Group, continue de jouer un rôle de pionnier dans le domaine des alternatives durables. En plus de son engagement bien connu en faveur du CNG, elle s’engage pleinement dans la conduite électrique. Les voitures électriques signifient aussi rouler au H2, ou hydrogène. L’ouverture de cette station hydrogène publique le long de l’autoroute A12 à Wilrijk est le coup d’envoi de l’ouverture de cinq nouvelles stations H2 en Belgique. Avec un certain nombre de partenaires, DATS 24 aide également des entreprises à introduire des voitures à hydrogène dans leurs flottes.

Pour DATS 24, l’hydrogène présente un fort potentiel en tant que carburant durable. En 2018, elle a lancé la première station-service à hydrogène entièrement intégrée en Europe sur son site d’origine à Halle. Leur deuxième station d’hydrogène, nouvellement installée à Wilrijk à côté du site de Cardoen, crée désormais des opportunités supplémentaires pour les entreprises et les particuliers à Anvers. L’objectif est que les camions poubelles H2 puissent bientôt faire le plein ici aussi. Et la ville d’Anvers s’en réjouit dans le cadre de ses plans de mobilité durable. Outre Wilrijk, DATS 24 ouvrira dans les prochains mois des stations d’hydrogène à Haasrode, Erpe-Mere, Ollignies et Herve. Cela signifie qu’à proximité de ces sites, l’hydrogène devient une véritable option pour le transport des personnes et des marchandises.

Les véhicules électriques à hydrogène offrent des avantages uniques

“”La durabilité reste le principe directeur de tout ce que nous faisons. Tant chez Colruyt Group que chez DATS 24. Cela signifie que nous continuons à investir dans la production et la distribution d’énergies et de carburants renouvelables. L’objectif de DATS 24 est de rendre l’hydrogène aussi largement disponible que possible pour le transport des personnes et des marchandises”, explique Raf Flebus, Business Unit Manager de DATS 24. “”Conduire à l’hydrogène, c’est conduire électriquement avec, en plus, une combinaison d’avantages uniques : un plein rapide, une conduite sans émission et une autonomie électrique garantie de 650 à 700 km. Il suffit d’avoir une station-service H2 à proximité. Pour de nombreuses entreprises de ce secteur, c’est désormais possible”, ajoute M. Flebus.

DATS 24 peut compter sur le soutien d’un certain nombre de partenaires. L’un de ces partenaires est WaterstofNet, qui réunit l’industrie de l’hydrogène en Flandre et dans le sud des Pays-Bas au sein du cluster industriel de l’hydrogène (WIC). Adwin Martens, Managing Director de WaterstofNet: “Une accélération est nécessaire pour que la société se dirige vers des émissions zéro. Les molécules vertes telles que l’hydrogène joueront un rôle crucial dans l’adhésion de tous. C’est pourquoi nous avons veillé à ce que cette station d’hydrogène DATS 24, qui représente un investissement considérable, soit cofinancée dans le cadre du programme Hydrogen Region 2.0 d’Interreg Flandres-Pays-Bas.”

Guider les entreprises vers la mobilité hydrogène

DATS 24 peut être considéré comme le pionnier de l’énergie et des carburants durables en Belgique. Concrètement, être un pionnier signifie : tester, essayer, consulter abondamment, optimiser, analyser, informer, inspirer, impliquer, démontrer, faciliter, tester à nouveau – et tout cela sans garantie de succès. Raf Flebus: “”Colruyt Group nous donne l’espace nécessaire pour assumer ce rôle de pionnier, ce qui est assez unique. Nous avons également réuni des partenaires pour poursuivre activement la transition. Dans le cadre de la mobilité hydrogène, nous avons lancé, avec d’autres pionniers de l’hydrogène – Toyota, Hyundai et ALD Automotive – une formule de leasing intéressante pour les flottes d’entreprise. Cela devrait aider les entreprises à faire la transition”.

L‘association d’entreprises ‘‘Handel en Industrie Wilrijk’’ est déjà convaincue des possibilités. Aujourd’hui, ils se réunissent pour découvrir les avantages, les opportunités et les possibilités lors d’un atelier sur la conduite à l’hydrogène. Le contenu et les essais seront fournis par DATS 24 et ses partenaires.

Energie et protection de l’environnement : quelles aides en Wallonie ?

Souvent méconnues, ces aides peuvent être un vrai coup de pouce pour les TPE et les PME wallonnes qui veulent améliorer leur efficacité énergétique et tirer des bénéfices de ces investissements.

Pour les PME, la nécessité de maîtriser les coûts énergétiques (sans cesse croissants) et l’intérêt de s’inscrire dans le mouvement durable devient un incontournable de fonctionnement. La Wallonie dispose de plusieurs mécanismes d’aide :

• Les chèques-entreprises spécifiques à l’énergie. Destinés aux TPE et PME, ils financent des audits et études énergétiques, réalisés par un professionnel agréé par la Wallonie. Commencer par une telle étude est souvent utile car, contrairement aux logements, les caractéristiques des PME varient grandement. Ces chèques couvrent 75% des dépenses relatifs à ces services. Toutes les informations sont ici.
• Le programme Amure vise les commerces (de gros et de détail), les garages ainsi que l’HoReCa et fait bénéficier ces secteurs d’une intervention pour l’isolation des murs, la ventilation, l’éclairage LED et l’isolation de chambres froides. L’aide peut varier jusqu’à 50 % du surcoût HTVA en fonction de la taille de l’entreprise.

En tant qu’acteur de terrain et observateur de ces réalités, notamment en temps de crise énergétique, UCM demande d’élargir la liste des secteurs pouvant bénéficier du programme ARMURE.

• L’aide à l’investissement spécifique à la  ou l’utilisation durable de l’énergie”protection de l’environnement ou l’utilisation durable de l’énergie”
• Ces incitants encouragent les entreprises à la protection de l’environnement ou à l’utilisation durable de l’énergie. La prime à l’investissement consiste en un pourcentage du montant des investissements. Une aide fiscale (exonération du précompte immobilier) peut également être accordée. En pratique, les programmes d’investissements doivent poursuivre un ou plusieurs des objectifs suivants : la protection de l’environnement (encourager une utilisation rationnelle des ressources), l’anticipation aux futures normes communautaires et l’utilisation durable de l’énergie (UDE). A cela s’ajoutent la réduction de la consommation d’énergie, le développement d’énergies issues de sources d’énergie renouvelables et le développement d’installations de cogénération à haut rendement.

Dans le cadre de ces aides UDE, UCM demande d’adapter le seuil minimum d’investissements éligibles actuellement fixé à 20.000€ (hors TVA) pour les PME. Il s’agit également de communiquer davantage sur ces mécanismes et surtout, grâce à un accompagnement efficace, d’aider les entreprises à passer à l’action !

Enfin, concernant le financement, des solutions existent également, notamment auprès de la Sowalfin à travers le prêt Easy Green, qui permet aux entreprises d’emprunter (sans minimum) à des conditions attractives des projets permettant de réduire l’empreinte carbone des PME.

Un article de Silvia Doga, éco-conseillère chez UCM.

Decathlon Belgique teste un service de location de matériel sportif

Decathlon Belgique teste un service de location de matériel sportif en se basant sur l’analyse des données de 70 familles qui participent à une expérience de location d’équipements come alternative à l’achat.
C’est la structure interne We Play Circular dirigée par Luc Teerlinck, qui imagine des solutions fondées sur l’économie circulaire, qui a mis au point ce concept fondé sur l’usage : « nous pensons que la voie vers une industrie sportive durable passe par une modification du comportement de consommation en allant de la possession à l’usage.

D’après une étude interne récente de Decathlon France, 9 % des Français seraient attirés par ce système d’abonnement. Un budget a été dégagé par Decathlon Belgique pour tester ce nouveau format sur 70 familles.
Trois formules d’abonnement, avec un plafond correspondant à la valeur des produits loués, leurs ont été proposées : 20 euros par mois pour un plafond de 400 euros, 40 euros pour un plafond de mille, 80 euros pour un plafond de 2000.
Les produits sont échangeables à tout moment en respectant la valeur de chacun. Pour l’instant, les clients peuvent retirer leurs équipements dans deux magasins, ceux d’Anvers et d’Evere (Bruxelles).
« Nous avons capté des données puis, après les avoir structurées durant quatre mois, nous avons vu la lumière » explique Luc Teerlinck.
Or, ce glissement d’une économie classique (j’achète, j’utilise, je remplace) à un modèle durable (je loue, j’utilise, je répare) pourrait s’avérer aussi profitable que respectueuse de l’environnement grâce à l’allongement de la durée de vie des produits.
Une réduction de 5 % des besoins de renouvellement du stock égale 8 à 12 % de gains d’Ebit (résultat avant intérêts et impôts). Avec + 5 % de taux de réutilisation, on obtient + 4 % de gains d’Ebit.
Le coût de reconditionnement (nettoyage ou réparation) a chuté, car l’enseigne a demandé aux testeurs de gérer les matériels en « bons pères de famille » et de prendre ce coût à leur charge.
Des usagers qui s’y retrouvent largement : l’abonnement leur a coûté 6 fois moins cher qu’un achat et elles ont pratiqué autant de sports en 6 mois qu’en un an dans le cas d’un achat.
« C’est un modèle 3 à 10 fois plus profitable que la vente, c’est juste énorme. Je précise que ce que l’on cherche, c’est la soutenabilité, pas la rentabilité, qui est déjà satisfaisante aux yeux des actionnaires » a précisé Luc Teerlinck.
Un changement de paradigme « colossal qui met tout le monde en mouvement dans le groupe ».
Le projet devrait être déployé après un second test de plus grande ampleur sur 2 000 clients avec introduction de services supplémentaires.
En France, Decathlon propose des services de location de vélo enfant (entre 3 et 8 euros par mois) et d’équipements de musculation (pack banc/haltères plus vidéos de coaching et conseils pour 10 euros par mois).
Une offre qui « décolle très fort » selon Yann Carré, leader Rent Decathlon.

Starbucks ouvre son premier magasin dans une station de métro en Corée du Sud

Starbucks Korea a annoncé ce jeudi avoir ouvert son premier magasin dans une station de métro à Séoul dans le cadre de sa stratégie d’expansion dans la quatrième économie d’Asie.

Le nouveau magasin a ouvert le 12 mai à l’intérieur de la station Gangnam, dans un quartier chic du sud de Séoul, pour offrir un service rapide aux heures de pointe. Il s’agit du premier magasin physique de la chaîne américaine de cafés à ouvrir dans une station de métro souterraine en Corée du Sud.

Le nom du quartier Gangnam est devenu populaire grâce à la chanson à succès «Gangnam Style» du rappeur Psy en 2012, et sa station est l’une des stations de métro les plus fréquentées du pays avec environ 100.000 passagers par jour.

Seoul Metro n’interdit pas aux passagers de consommer des boissons ou de la nourriture dans la rame, mais recommande de s’abstenir de le faire en raison du coronavirus, a déclaré un porte-parole de l’opérateur du métro de Séoul.

Le seul autre magasin Starbucks installé à l’intérieur d’un métro souterrain se trouve à la station Canary Wharf à Londres.

«A ce stade, la société n’a pas l’intention de multiplier les emplacements souterrains ou les magasins de ventes à emporter uniquement», a déclaré un porte-parole de la chaîne de cafés.

Il y a 19 cafés Starbucks dans un rayon d’environ 500 mètres de la station Gangnam.

Actuellement, Starbucks exploite 1.674 magasins en Corée du Sud. La chaîne de café est entrée dans le pays en 1999 et a réalisé des ventes de 602,1 milliards de wons (475,8 millions de dollars) au cours de la période janvier-mars, en hausse de 15% par rapport à l’année précédente.

Depuis sa prise de participation en juillet dernier, Emart, la plus grande chaîne d’hypermarchés du pays exploitée par Shinsegae, est le principal actionnaire de Starbucks Korea, détenant 67,5% de ses actions.

Maison du Monde revoit ses prévisions à la baisse

Le groupe, qui avait confirmé ses prévisions le 4 mai, signale que les conditions se sont considérablement dégradées depuis. Inflation, goulets d’étranglement et hausse des coûts pèsent lourdement. Cette année, le chiffre d’affaires va baisser (il aurait dû augmenter) et la marge d’Ebit sera de l’ordre de 5% contre 9% précédemment estimé.

Gorillas licencie massivement, la Belgique dans le flou

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Gorillas va-t-elle bientôt jeter l’éponge en Belgique ? La société allemande de livraison rapide s’apprête à licencier la moitié de son personnel de bureau, soit près de 300 personnes, et étudie « toutes les options stratégiques » pour ses activités dans notre pays.

« À l’heure actuelle, 90% de nos revenus proviennent de cinq marchés clés qui sont entrés dans une voie claire vers la rentabilité : l’Allemagne, la France, le Royaume-Uni, les Pays-Bas et les États-Unis », explique Gorillas dans un communiqué publié ce mardi. « C’est pourquoi nous avons décidé de nous concentrer davantage sur ces cinq marchés, où nous voyons un énorme potentiel dans un avenir proche, et de continuer à les développer. En Italie, en Espagne, au Danemark et en Belgique, marchés très attractifs en soi, nous étudions toutes les options stratégiques possibles pour la marque Gorillas. » Dans notre pays, l’entreprise livre pour l’instant dans quelques quartiers d’Anvers et de Bruxelles. Mais pour combien de temps encore ?

Surfant sur l’essor fulgurant du quick commerce, Gorillas est en croissance, mais l’entreprise rencontre toutefois des difficultés à générer des bénéfices. Or la rentabilité est désormais au cœur de la stratégie de la jeune pousse allemande. « Sur nos cinq marchés principaux, nous avons réaligné nos priorités sur notre structure de coûts : une concentration à 100% sur nos clients et la marque Gorillas. Nous allons travailler encore plus sur notre assortiment, nos prix, notre expérience de commande et notre logistique pour apporter à nos clients la meilleure expérience d’achat possible », explique notamment la firme, ajoutant qu’elle allait par conséquent licencier prochainement près de 300 membres de son personnel de bureau au niveau mondial, ce qui représente environ 50% des effectifs. Au total, Gorillas emploie quelque 15.000 personnes, livreurs et magasiniers compris. (Gondola)

Un deuxième centre de distribution Colruyt à Lessines

“Une excellente nouvelle pour le développement socio-économique de la Wallonie picarde.”Un investissement de 50 millions d’euros. Quelque 40 nouveaux emplois seront créés d’ici la mise en activité.

Le chantier d’un deuxième centre de distribution du groupe Colruyt a été inauguré mercredi à Ollignies, dans l’entité de Lessines. Cet investissement de 50 millions d’euros entraînera l’arrivée de 270 collaborateurs supplémentaires sur le site. C’est à la rue Verte Louche à Ollignies que ce centre sera construit. Le nouveau bâtiment est destiné à l’assortiment non-alimentaire des enseignes Colruyt Belgique, OKay et Colruyt France. Il jouxtera l’entrepôt existant dédié aux produits à forte rotation, et ce dans le souci d’optimiser l’efficacité logistique. Colruyt Group a inauguré ce chantier en présence de Willy Borsus, vice-président wallon et ministre de l’Économie, et de Pascal De Handschutter, bourgmestre de Lessines.

Situé le long de l’E429 Hal-Tournai, ce centre est proche du centre de distribution de Ghislenghien (Ath) et des infrastructures de Hal. Le développement du site d’Ollignies traduit l’engagement de Colruyt de poursuivre ses investissements en Wallonie. “Ce centre n’est autre que la deuxième phase d’un large projet initié en 2015, en proche collaboration avec le gouvernement wallon, les communes avoisinantes et l’intercommunale Ideta“, confirme Jef Colruyt, CEO du groupe de grande distribution. “Pour sa mise en activité fin 2023, le site accueillera quelque 270 collaborateurs, en plus des 500 déjà actifs dans le premier entrepôt. Quelque 40 nouveaux emplois seront créés d’ici la mise en activité. Cela conforte notre statut de deuxième employeur privé de la province du Hainaut“, dit le CEO. Le site de Ghislenghien (Ath) occupe quelque 800 collaborateurs.

Le nouvel investissement, pour lequel une demande de subside a été introduite auprès du Fonds d’aide aux grandes entreprises de la Région wallonne, se monte à 50 millions d’euros. “Cet investissement est une excellente nouvelle pour le développement socio-économique de la Wallonie picarde. Cette région, grâce à sa position géographique avantageuse, continue d’attirer de grands groupes. Le fait qu’une entreprise belge comme Colruyt continue d’investir en Hainaut, plus largement en Wallonie, et en Belgique est un signal fort et positif pour notre économie“, a déclaré le ministre Borsus. Le bourgmestre Pascal De Handschutter se réjouit de l’arrivée future d’une nouvelle main-d’œuvre, “qui va de pair avec la dynamisation de nos commerces et plus globalement de la vie associative des communes alentour“, précise-t-il.

Le nouveau centre de distribution (22 000 m²) sera dédié à la réception, l’entreposage et l’expédition de produits non-alimentaires (papeterie, cosmétiques et textile) ainsi que les assortiments saisonniers (jardin, rentrée des classes, fêtes de fin d’année). Quelque 11 000 produits transiteront chaque mois par ce centre, pour un assortiment total atteignant les 19 000 références.

Hyper moderne, le bâtiment fait la part belle à l’automatisation dans un souci d’ergonomie. Il accueillera à terme une centrale de rechargement de piles à combustible pour le matériel roulant, une fois la station hydrogène opérationnelle. Celle-ci sera exploitée par DATS24, la filiale de carburants. Le site est d’ores et déjà pourvu d’un centre de retour destiné au triage et au traitement des déchets issus des magasins (cartons, plastiques, palettes) et dispose de ses propres ateliers techniques affectés à la réparation et à l’entretien des machines et du matériel roulant.