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Retail, Franchising & Co

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September 2019

Le magasin OKay de Lennik entièrement rénové rouvre ses portes dans un bâtiment au caractère durable

  18 septembre 2019

Le vendredi 20 septembre, le magasin OKay de Lennik rouvre ses portes après d’importants travaux de transformation. Le magasin a été agrandi et rafraîchi dans le style de la deuxième génération des supermarchés de proximité OKay. Il dispose désormais d’un nouveau coin boulangerie, de nouveaux congélateurs et de nouvelles caisses enregistreuses. Grâce à cette transformation, le magasin OKay de Lennik réduit son empreinte environnementale et offre des services supplémentaires à ses clients, comme un point d’enlèvement Collect&Go et une borne de recharge électrique de DATS 24.

Services supplémentaires pour le client

Le magasin OKay de Lennik a plus d’un atout dans son sac. « Le point d’enlèvement Collect&Go est la principale nouveauté », explique le store manager Gerty Debremaeker. « Les clients peuvent y retirer les produits de l’assortiment de Colruyt qu’ils réservent sur le site de Collect&Go ». Lennik a bien évidemment gardé un point d’enlèvement pour les articles ColliShop. Et grâce à la Bringme Box, les clients peuvent faire livrer, enlever et retourner sans difficulté leurs achats en ligne. En guise de service supplémentaire, DATS 24, le spécialiste du carburant, a par ailleurs installé une borne de recharge électrique sur le parking.

Un aménagement moderne respirant la fraîcheur

Le supermarché de proximité de Lennik appartient à la nouvelle génération des magasins OKay, dont l’aménagement respire la fraîcheur et la modernité. Dans le freshmart, les larges allées et les grandes parois vitrées rendent l’expérience en magasin particulièrement agréable. Le vaste assortiment de fruits et légumes frais y est idéalement mis en valeur. « Du pain frais est livré chaque jour et mes collaborateurs  cuisent eux-mêmes des petits pains et des viennoiseries de qualité dans le coin boulangerie rénové », ajoute Gerty. L’assortiment de produits frais est l’un des atouts d’OKay : fruits et légumes frais du jour, produits laitiers, viande, charcuterie, poisson et un vaste choix de plats préparés. Le supermarché de proximité est également équipé d’un comptoir « Easy Cooking » très pratique. Ce comptoir regroupe diverses recettes ainsi que les ingrédients nécessaires à la réalisation de savoureux mets saisonniers. 

Construction durable

Lors de la rénovation du magasin OKay de Lennik, une grande attention a été portée au caractère  durable au niveau de l’isolation, de la ventilation, de l’éclairage, de la réfrigération et du chauffage. « Nous avons bien réfléchi à la façon dont nous pouvions rendre notre magasin aussi durable que possible », explique Gerty. « À chaque étape du processus de transformation, nous avons opté pour la solution la plus durable. L’installation de réfrigération fonctionne dorénavant au propane,  par exemple. Ainsi, elle émet environ 90 % de gaz à effet de serre en moins qu’une installation classique. Là n’est pas la seule amélioration. L’éclairage LED permet de réduire de 30 % la consommation électrique. Par ailleurs, le bâtiment est extrêmement bien isolé. Le système de ventilation permet de récupérer 75 % de la chaleur ambiante. Les plantes grasses, mousses et graminées sur le toit végétal protègent le bâtiment des fortes chaleurs en été. Et Gerty d’ajouter : « Le revêtement de la façade est aussi tout à fait nouveau et unique. Cette peinture spéciale appelée StoColor Photosan permet de réduire la formation de particules fines, de dioxydes de carbone et d’ozone ».  

Jumbo ouvrira un magasin à Beveren, près de 8 autres supermarchés

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Un permis d’environnement aurait été demandé par le Néerlandais Jumbo pour une grande succursale dans le Pareinpark de Beveren. L’ouverture est prévue pour 2020 et la concurrence s’annonce rude.

Pour rappel, l’arrivée de Jumbo en Belgique est prévue pour la fin de l’année. Les premiers supermarchés du retailer néerlandais ouvriront leurs portes à Rijkevorsel, Pelt et Lanaken. En 2020, 12 à 15 supermarchés devraient s’ajouter au compte en Flandre. A terme, Jumbo prévoit un potentiel de plus de 100 magasins en Belgique. 

Selon le journal Het Laatste Nieuws, Jumbo aurait déposé une demande de permis d’environnement pour installer un point de vente dans le Pareinpark de Beveren. Le collège devra se prononcé sur l’obtention de celui-ci après l’enquête publique qui coure jusqu’au 24 septembre. Rien ne devrait toutefois entraver l’arrivée du retailer. Selon l’échevin en charge de l’économie locale, Filip Kegels (N-VA) interrogé par nos confrères, « il était particulièrement important qu’il n’y ait pas de chaînes concurrentes pour le  complexe commercial tout proche, comme c’était le cas avec The Fashion Store à l’époque. Notre vision est claire: le commerce de détail doit être au centre. Ce dossier remplit déjà cette condition. » 

Rude concurrence à venir

Dans l’environnement proche, on retrouve en effet un autre complexe commercial qui abrite des enseignes telles que E5 Mode, Brico, Bon’Ap, la jardinerie Horta ou encore DreamLand. A deux pas de là, on retrouve toutefois aussi un Lidl, un Carrefour Market et un Aldi. Et à moins de 2km, on peut se rendre chez Albert Heijn, Colruyt, Spar et ou dans un second Carrefour Market. A noter, que le Proxy Delhaize n’est pas non plus très éloigné… Bref la concurrence s’annonce  une nouvelle fois rude!

Un Jumbo de 2.000 m²

Concrètement, plusieurs enseignes dont Jumbo et Kruidvat devrait s’installer sur le site qui appartenait jusque-là à De Rycke. La surface de vente nette de celui-ci est de 3.322 m², mais c’est Jumbo qui s’octroiera la plus large surface puisque son point de vente devrait occuper 2.000 m² souligne Het Laatste Nieuws. Au total, 57 emplois pourraient y être créés. Le point de vente qui devrait s’installer à Beveren dans le courant de l’année 2020 sera le premier de la région du Waasland. 

Le magasin franchisé d’Ixina de Nivelles rouvre ses portes

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L’enseigne de franchise Ixina, leader en Belgique du secteur des cuisines, vient de rouvrir les portes de son magasin de Nivelles (Chaussée de Namur 83) dans le Brabant Wallon depuis le début de ce mois de septembre. Ceci suite à la reprise du fonds de commerce.


Il se trouve maintenant sous la direction de Marc Rossel, un nouveau franchisé de l’enseigne, qui est assisté par une équipe de trois collaborateurs dans la gestion quotidienne du magasin.
Le magasin d’une surface de 800 m², ouvert du mardi au samedi de 9.30h à 18h, expose une vingtaine de cuisines dans son showroom. 

Fin de la saga KFC à la Porte de Namur !

Le premier KFC de Belgique a ouvert ses portes (photos)

Vous vous souvenez de la récente saga KFC (Kentucky Fried Chicken) à Ixelles dont nous vous avions parlé il y a quelque temps ?


L’enseigne internationale de restauration rapide nourrissait de solides projets d’installation dans le quartier de la Porte de Namur dans l’immeuble actuel de l’agence ING.
Quoi de plus normal avec la présence d’autres grandes chaînes du secteur dans le quartier (Quick, Burger King, Pizza Hut, Exki, Foodmaker, Hector Chicken et le dernier venu O’Tacos).


Mais c’était sans compter sur la hargne de la commune d’Ixelles et de ses échevins écolos qui leur avait refusé le permis d’urbanisme. Après un passage au niveau de pouvoir supérieur, la Région les a aussi déboutés. Récit d’un projet mort né à une époque où l’équilibre entre la liberté du commerce se heurte à un souhait de diversification et de mieux-manger. . .
Tous ces restaurants animent non seulement le quartier mais font aussi vivre les enseignes des commerces voisins.


Le premier restaurant KFC en Belgique avait ouvert ses portes cette année en juin à la Gare du Nord avec succès.

L’e-commerce en Belgique en hausse de 7% au premier semestre

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Le nombre de transactions effectuées en ligne et le montant dépensé augmentent pour la cinquième année consécutive, annonce cette semaine BeCommerce.

Au premier semestre 2019, 5,69 milliards d’euros ont déjà été dépensés en ligne, ce qui représente une augmentation de 7% par rapport à la même période l’an dernier, un nouveau record, précise la fédération des commerces en ligne.

Au premier semestre 2019, quelque 55,3 millions d’achats ont déjà été effectués en ligne. Il s’agit d’une augmentation de 25% par rapport à la même période l’an dernier.

Le top 3 est dominé par les «billets d’avion et l’hébergement» (88% des dépenses), suivis des «billets pour les attractions et les événements» et des «vacances en forfait». La catégorie qui connaît la plus forte croissance est à nouveau «Santé & Beauté» (+41%), ajoute BeCommerce.

«Si le commerce électronique continue de croître à ce rythme cette année, tout porte à croire que nous franchirons la barre symbolique des 11 milliards d’euros», a souligné Sofie Geeroms, Managing Director de BeCommerce.

Action, Flying Tiger, Primark, Aldi… Ils boudent l’e-commerce, et cartonnent!

  • Action et ses prix très bas

Avec ses 1.438 magasins répartis dans sept pays européens (Belgique – 177 points de vente, Pays-Bas, Allemagne, France, Luxembourg, Autriche, Pologne), la chaîne néerlandaise Action, aux mains du fonds d’investissement 3i (Basic-Fit, Hans Anders, etc.), est une vraie machine de guerre dans le discount non alimentaire. Ses secrets ? Des prix très bas – 1,72 euro en moyenne – et un assortiment qui change régulièrement au gré des bonnes affaires, ce qui permet d’augmenter la fréquence d’achat. Les articles vendus (14 catégories) sont essentiellement des marques propres fabriquées en Asie pour un coût très bas. Mais le discounter vend aussi quelques grandes marques bien connues, essentiellement dans les produits de lessive, cosmétiques, shampoings, snacks et boissons. Afin de proposer des prix cassés sur ces grandes marques, le groupe procédait, par le passé, par importation parallèle, à des achats dans d’autres pays ou au déstockage. Mais il est aujourd’hui devenu trop grand, et ne peut plus se contenter de cette manière de procéder. Action négocie donc en direct avec les grands groupes, qui adaptent pour lui leurs produits au niveau du packaging, du volume, etc.

Pour réduire ses coûts, la chaîne joue sur les volumes (ce qui lui permet de négocier durement avec ses fournisseurs), s’installe dans des localisations secondaires (en périphérie, dans des sous-sols, etc.), propose des points de vente complètement dépouillés, optimise au maximum sa chaîne logistique et… ne permet pas à ses clients d’acheter en ligne. ” Notre modèle discount est en lui-même déjà disruptif, tout comme l’est l’e-commerce, affirme Yvette Moll, directrice communication. Il nous serait par ailleurs compliqué de rendre les ventes en ligne profitables avec des articles à si bas prix. En outre, les clients viennent chez nous pour l’un ou l’autre article, et ressortent avec plein d’autres choses. Ce n’est pas possible en ligne. ” La chaîne a donc décidé de se concentrer sur l’ouverture de magasins physiques. D’après notre interlocutrice, le potentiel serait d’ailleurs important. ” Nous avons récemment ouvert 230 magasins dans les sept pays dans lesquels nous sommes présents, explique-t-elle. Il y a encore du potentiel dans ces pays, et dans d’autres pays également. En Belgique, nous avons déjà ouvert 10 nouveaux points de vente cette année. D’autres doivent suivre. “

Le parcours imposé de Flying Tiger

La marque danoise (groupe Zebra A/S) est active sur le sol belge (25 magasins) depuis 2014. Présente dans toute l’Europe (sauf au Luxembourg), aux Etats-Unis, au Japon et en Corée du Sud, elle offre dans ses rayons des articles de décoration ou fun à très bas prix. Des articles à marque propre que le groupe dessine lui-même (ce qui permet d’éviter la comparaison) avant de les faire fabriquer en Asie. Une chose est certaine : on ne va pas chez Flying Tiger parce que l’on sait précisément ce que l’on veut. La marque joue à fond sur les achats impulsifs et l’expérience en point de vente. ” Nous ne vendons pas des produits, lance Benoît Lefebvre, directeur Wallonie-Bruxelles. Nous vendons une ambiance et une expérience client. En magasin, les clients doivent suivre un parcours imposé, ce qui nous permet de les surprendre. Cette expérience est impossible à reproduire en ligne, où tout est catégorisé. Nous perdrions notre ADN. Depuis le départ, Flying Tiger accorde une très grande importance à l’expérience d’achat. Notre concept n’a pour ainsi dire pas changé, là où tout le monde, aujourd’hui, fait évoluer son modèle pour renforcer l’expérience client. “

Outre ces réflexions, le responsable reconnaît toutefois que le choix délibéré de ne pas se lancer dans l’e-commerce est aussi guidé par des considérations financières. ” Expédier un article à 2 euros avec 2 euros de frais de livraison ou encore davantage, cela n’a pas beaucoup de sens “, dit-il.

Gino Van Ossel comprend tout à fait que Flying Tiger ne se soit pas tourné vers l’e-commerce. ” Les achats d’impulsion et le cross-selling restent très compliqués à déclencher sur le Net, dit-il. L’e-commerce est plutôt le lieu des achats planifiés. Or, tout le business model de Flying Tiger repose sur le volume. Il faut sortir du magasin avec plein de petits articles que nous n’avions pas prévu d’acheter. Si le groupe se lançait dans l’e-commerce avec la plupart de son assortiment, cela lui coûterait de l’argent. “

Etant donné que l’enseigne danoise n’est pas une enseigne de destination (on ne s’y rend pas avec un but précis), elle doit absolument se situer dans des endroits à fort trafic, comme les centres-villes et les shopping centers. ” Des endroits coûteux, reconnaît Benoît Lefebvre. Mais là où d’autres investissent dans le marketing, nous investissons dans les loyers. ” La baisse de fréquentation des centres-villes et centres commerciaux pourrait clairement constituer une menace pour la chaîne, estime Gino Van Ossel. ” Elle commence à se poser des questions, dit-il. Tant que le taux de croissance est suffisant, pas de souci. Mais si l’enseigne perd cette croissance, elle va devoir réévaluer son business model. Pourquoi ne pas combiner de l’impulsion avec du planifié qui, lui, pourrait être vendu en ligne ? “

Primark mise sur le volume

Alors que des rumeurs ont circulé en début d’année sur le fait que l’enseigne irlandaise de mode à bas prix pourrait éventuellement se lancer dans la vente en ligne, celles-ci ont été aussitôt tempérées par la marque qui, si elle y réfléchit, ne fait pas de l’e-commerce une priorité à court terme. ” Le online est important pour Primark, nous assure un porte-parole. Nous avons une présence importante et une croissance rapide dans les médias numériques et les médias sociaux, avec actuellement 14,5 millions d’abonnés. Nos clients aiment regarder les dernières offres en ligne et venir ensuite en magasin pour acheter. La combinaison d’un magasin design, d’une expérience shopping et de prix imbattables est ce qui rend Primark si attrayant. “

En fait, un discounter comme Primark n’aurait aucun intérêt à se lancer dans le commerce en ligne. Sa marge par article, en euros, est très faible. L’enseigne fonctionne donc sur le volume. L’idée, c’est que vous ressortiez du magasin avec un tas d’articles à 4 euros. Ce n’est pas pour rien si les caisses d’un Primark ressemblent comme deux gouttes d’eau à des caisses de supermarché, avec une multitude d’articles à très bas prix le long des files pour susciter les achats d’impulsion. Or, en moyenne, les clients achètent moins d’articles par commande sur le Net. Il faudrait donc que les consommateurs se mettent à remplir leur panier en ligne à ras bord. Et dans ce cas, les coûts exploseraient pour Primark.

” Ce qui détermine les coûts dans l’e-commerce, c’est le nombre d’articles à mettre dans la boîte, explique Gino Van Ossel. Si le ticket de caisse est plus ou moins le même chez Primark et H&M, le nombre d’articles pour un même montant sera plus élevé chez Primark. La préparation de la commande coûtera donc plus cher. Afin de réduire ces coûts, il faudrait automatiser davantage le picking et optimiser les livraisons. “

Notre expert pointe enfin le défi des retours. ” Si le taux de retour est similaire à celui d’un Zalando, à savoir 50%, cela serait tout simplement impossible à rentabiliser pour Primark. “

Aldi embellit ses magasins

Les stars du hard discount ont déjà beaucoup évolué ces dernières années. Aldi et Lidl ont quitté le hard discount pur et dur pour se tourner vers une forme de smart discount. Comprenez l’embellissement de leurs magasins, le renforcement du rayon frais, l’introduction de quelques grandes marques aussi. Objectif : faire venir les clients plus souvent (de nouveaux clients également, qui ne franchissaient pas la porte jusqu’alors) et augmenter leur panier moyen. De là à se lancer dans l’e-commerce…

” Le commerce en ligne et le discount alimentaire sont deux modèles opposés, explique Matthias Queck, directeur de recherche chez LZ Retailytics, auteur d’une étude intitulée Online grocery : the discounters’ Achilles’ heel. Le hard discount, c’est le self-service poussé à l’extrême. Les coûts salariaux, notamment, sont l’un des postes auxquels ils font le plus attention. Or, l’e-commerce est un modèle coûteux, plus particulièrement le dernier kilomètre. Vendre en ligne signifierait pour eux le risque de perdre leur avantage en matière de prix. “

Chez Aldi, on explique suivre de près les possibilités en matière de commerce électronique. ” Mais nous ne pouvons pas préciser pour le moment si notre groupe s’engagera dans cette voie “, se contente de répondre Dieter Snoeck, porte-parole de la chaîne en Belgique. Aux Etats-Unis, pourtant, le discounter allemand propose la livraison à domicile via la start-up Instacart (livraison express de produits alimentaires par des livreurs indépendants). Un choix qui n’est pas du tout anodin, d’après notre expert. ” Le fait de travailler avec un partenaire externe peut justifier, aux yeux des consommateurs, des coûts de livraison plus élevés, permettant par ailleurs aux discounters de conserver leur rentabilité. “

Contrairement à Aldi, son concurrent de toujours, Lidl, se veut un petit peu plus entreprenant en matière d’e-commerce. La marque du groupe allemand Schwarz a lancé dans plusieurs pays (dont la Belgique) la vente en ligne de produits non alimentaires. A ce jour, la chaîne propose chez nous 4.000 références non alimentaires dans neuf catégories de produits comme la cuisine, le sport, la mode en encore le jardinage. ” La marge en euro sur ces articles est plus élevée que sur l’alimentaire, explique Gino Van Ossel. Par ailleurs, ce sont des articles souvent trop volumineux, que le consommateur ne vient pas chercher en magasin. “

Reste que dans l’alimentaire aussi, Lidl mène quelques tests. Prudemment. Depuis la fin de l’année dernière, un projet pilote baptisé Lidl Simpl a été lancé à Gand. Quelque 950 produits frais peuvent à ce jour être livrés dans la ville pour 3,99 euros via le partenaire externe Cargo Velo. ” Nous étudions les possibilités afin d’étendre le service à d’autres villes “, explique Julien Wathieu, porte-parole de Lidl Belgique. Pour le discounter, il s’agit avant tout de tester prudemment la rentabilité d’un tel projet sans mettre à mal un business model qui, sans e-commerce, continue de faire souffrir les supermarchés traditionnels.  

Source  : Trends Tendances

Domino’s Pizza vous rhabille pour l’hiver avec le créateur hype Liam Hodges

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C’est à l’occasion de la Fashion Week de Londres qui se termine demain que Domino’s s’associe à un designer de streetwear de luxe, Liam Hodges. Cette campagne réalisée par l’agence VCCP n’est pas s’en rappeler celle de McDonald’s. La chaîne de restauration rapide avait lancé une gamme de vêtements dans le but de faire la promotion de ses nouveaux nuggets épicés.

Les vêtements imaginés par Liam Hodges surfent sur la tendance des Anglais à préférer des soirées à la maison plutôt que de sortir. Les manteaux de la collection appelée “The controller coat” (le manteau de la télécommande en français) pour du cocooning chez soi, entre divertissement et manger gras. À l’intérieur, on peut y trouver des poches pour ranger la télécommande de la télévision, sa manette de jeu, son téléphone. De plus, il existe des modèles que l’on peut utiliser comme sac de couchage sur mesure ou alors comme couverture. Ce modèle peut contenir jusqu’à trois personnes.

Avec cette campagne l’enseigne cherche à s’inscrire dans les usages de ces clients, devenir la solution numéro une de la soirée pizza et instauré un bien être chez le client. Il s’agit ici de créer un vêtement pour les soirée pizza en toute circonstance. Qui aurait pu imaginer une campagne Domino’s pendant la Fashion Week ?

Melissa Greenwood, directrice de communication chez Domino’s explique dans un communiqué : “L’édition limitée “Ultimate Night In” de la collection est pensée pour être l’un des accessoires les plus recherchés de la saison. Qui ne n’aime pas “être à l’aise” dans le but de profiter d’une pizza chez soi le soir ? Désormais, nos clients peuvent être élégants sans être embarrassé en pyjama lorsque le livreur arrive.”

AHOLD DELHAIZE : PARTENARIAT AVEC HANSHOW TECHNOLOGY

Ahold Delhaize annonce un partenariat avec Hanshow Technology (Chine) pour introduire des applications numériques en magasins pour ses marques européennes, dans un premier temps avec le déploiement d’étiquettes électroniques dans leurs réseaux de magasins.

Par ailleurs, Ahold Delhaize va mettre en place un laboratoire d’innovation conjoint avec Hanshow, de façon à développer ensemble de nouvelles capacités et fonctions à l’intérieur des magasins.

L’enseigne Gap va fermer huit de ses 28 magasins en France

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L’enseigne américaine d’habillement Gap va fermer huit de ses 28 magasins en France, a-t-elle indiqué jeudi à l’AFP, confirmant des informations de presse.

Cela s’inscrit dans le cadre de la fermeture de 230 points de vente dans le monde., que le groupe avait annoncée début 2019.

“En février 2019, nous avons annoncé la fermeture d’environ 230 magasins Gap à travers le globe au cours des deux prochaines années. En France, nous avons annoncé la fermeture de huit magasins et nous continuons à nous concentrer sur le développement d’une activité rentable et durable sur le marché”, a indiqué mardi le groupe à la suite d’informations du quotidien Le Monde.

Selon le journal, d’ici à 2020, Gap va notamment fermer ses points de vente parisiens des Champs-Elysées, du boulevard des Capucines, de la rue de Rivoli ou encore du boulevard Saint-Michel.

“Notre engagement est de nous occuper rapidement, de manière réfléchie et décisive des magasins qui ne sont pas performants ou qui ne correspondent pas à notre vision future de la marque Gap. Nous sommes convaincus que ces fermetures renforceront la santé de la flotte et serviront de base plus appropriée à la revitalisation de la marque”, ajoute le groupe dans sa déclaration.

La chaîne, présente dans une quarantaine de pays, met en oeuvre depuis plusieurs mois une vaste restructuration, comprenant sa scission en deux entreprises distinctes cotées séparément en Bourse.

L’objectif de Gap -qui a pris du retard dans le commerce en ligne et pâtit également de la concurrence de H&M et Zara- est d’économiser 90 millions de dollars par an.

Le projet de scission prévoit de distinguer la marque Old Navy, qui a réalisé à elle seule l’an dernier un chiffre d’affaires de 8 milliards de dollars, des chaînes Gap, Banana Republic, Athleta et Hill City, dont les ventes cumulées atteignent 9 milliards de dollars.

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