Une nouvelle enseigne s’installe au City 2 dans un espace de 125 m² : une bijouterie trendy. La jeune enseigne est lancée par Thom Europe (Histoire d’Or, Stroili…), le leader européen de la bijouterie.
Les bijoux en cristal de Swarovski, les Georgettes et leurs bracelets personnalisables, les montres Daniel Wellington plébiscitées par les Millennials ou celles de Cluse, la jeune griffe néerlandaise. Demain, peut-être les « charms » de Pandora ? Toutes ces marques d’horlogerie-bijouterie fantaisie sont désormais réunies sous la bannière de « Smizze ».
Bio-Planet, le supermarché bio de Colruyt Group, présente aujourd’hui quatre nouveaux produits végétaux à base de soja cultivé en Belgique. Ces produits sont le résultat d’une intense collaboration entre un agriculteur, un producteur et des experts alimentaires belges.
Ce faisant, Bio-Planet soutient la culture débutante du soja local et élargit son offre alimentaire pour flexitariens, végétariens et végans. La chaîne de supermarchés bio souhaite également augmenter la part de produits bio belges et locaux dans ses magasins et s’investit dans le développement d’une véritable offre locale en proposant davantage de produits venant de producteurs locaux situés dans un rayon d’environ 25 km autour de chaque magasin. Un quart de l’assortiment de chaque Bio-Planet est déjà local. Bio-Planet répond ainsi à une forte demande en produits locaux venant de consommateurs de plus en plus désireux de faire leurs achats de manière plus durable.
C’est une première en Belgique : des burgers et des garnitures fabriqués à base de soja cultivé localement. Ces produits sont vendus sous la marque maison Boni Selection Bio. Ils sont le fruit d’une intense collaboration entre Simon Colembie, (agriculteur bio à Kruishoutem), La Vie est Belle (producteur de produits végétariens à Bruges) et les institutions scientifiques flamandes Inagro (Onderzoek en advies in land- en tuinbouw – recherche et conseils en agriculture et horticulture) et ILVO (Instituut voor landbouw- visserij en voedingsonderzoek – Institut de recherche en agriculture et pêche).
« La culture du soja en Belgique se fait encore à petite échelle et s’apparente vraiment à un travail de pionnier, mais nous croyons en son potentiel, qui est énorme », a déclaré Jo Ghilain, business unit manager de Bio-Planet. « Un renforcement de la culture locale de soja offrirait plus de possibilités sur le plan de l’innovation dans le domaine des substituts de viande, avec pour résultat une offre plus importante et plus variée à destination des consommateurs. Cependant, pour faire croître la culture locale du soja, il faut davantage sensibiliser le consommateur à ses avantages nutritionnels et climatiques. »
Joke Pannecoucque, experte en soja à l’ILVO, croit également au potentiel du soja local : « En cultivant du soja en Belgique, nous dépendons moins du soja importé du Canada, de France, d’Italie et d’Europe de l’Est. De plus, le soja est en soi une culture respectueuse du climat. C’est une légumineuse, une famille de plantes qui régule son propre apport en azote et nécessite donc très peu d’engrais. »
Les substituts de viande toujours plus populaires
Avec les nouveaux burgers et garnitures au soja, Bio-Planet répond à la demande des consommateurs de disposer d’une gamme de substituts de viande plus large et plus diversifiée. Une catégorie qui, depuis longtemps, se porte bien chez Bio-Planet : environ la moitié des clients achètent des produits qui en font partie. L’introduction de deux burgers végans et de deux garnitures à base de soja 100 % belge permet à Bio-Planet de diversifier encore cette offre.
Les nouveaux produits sont 100 % végétaux et affichent un Nutri-Score A. Ils surprennent par leur combinaison de saveurs d’algues et de sésame. Pour les burgers, les fèves de soja sont transformées dans leur intégralité, ce qui n’est pas le cas des burgers de soja déjà sur le marché. Cette particularité garantit non seulement une consistance solide à la mâche, mais permet également au consommateur de prendre conscience qu’il s’agit bien d’un produit entièrement à base de soja. Les ventes de ces nouveaux burgers et garnitures sont prometteuses. En un mois, Bio-Planet a déjà touché 2 000 clients individuels. Et pour mettre davantage de clients en contact avec ces produits à base de soja local, Colruyt Group vendra le burger de soja chez Colruyt Meilleurs Prix et les deux garnitures au soja chez OKay. Et cela dès l’année prochaine.
Plus durable en élargissant l’offre belge et locale
En proposant des burgers et garnitures à base de soja local, Bio-Planet soutient cette nouvelle filière belge. Cette démarche s’inscrit dans la stratégie de Colruyt Group – et de Bio-Planet en particulier – visant à stimuler autant que possible les filières locales et à élargir l’assortiment de produits biologiques belges. Colruyt Group contribue déjà à renforcer l’agriculture biologique belge en développant des collaborations, par exemple avec l’entreprise d’agriculture biologique De Lochting, à Roulers. Grâce au soutien financier de Colruyt Group, cette entreprise a étendu ses terres agricoles de 35 à 55 hectares l’année dernière.
Mais Bio-Planet veut investir davantage dans l’élargissement de l’offre locale. Aujourd’hui, un quart de l’assortiment total de chaque magasin est déjà local. Concrètement : environ 1 500 produits viennent de producteurs locaux situés dans un rayon d’environ 25 km autour du magasin. « Nous allons sans aucun doute continuer à investir dans cette démarche, » conclut Jo Ghilain.
Le mercredi 29 mai, le Colruyt rénové de Hoboken a ouvert ses portes. L’entrée a notamment été rénovée et l’espace fraîcheur agrandi. Les prix des produits sont désormais affichés sur des étiquettes électroniques. Nous avons également adapté le parking afin que celui-ci soit plus proche de l’entrée du magasin. Plus simple et plus sûr pour nos clients. 4 nouveaux collaborateurs viendront en outre renforcer l’équipe.
Faire ses courses plus efficacement
Pendant les travaux, nous avons entièrement réaménagé le magasin ≫, explique le gérant Rob Vandael. ≪ Ce qui permet à nos clients de faire leurs achats de manière encore plus efficace. Nous avons par exemple agrandi l’espace fraîcheur et nous avons prévu une caisse supplémentaire. La viande fraîche est présentée en portions pratiques dans un comptoir en libre service, idéal pour visualiser directement les ingrédients, la quantité et le prix. Il ne vous reste plus qu’à choisir votre produit et l’emporter.
Étiquettes de prix électroniques
Au Colruyt de Hoboken, les étiquettes électroniques ont remplacé les étiquettes papier. ≪ Elles présentent en effet plusieurs avantages ≫, souligne le gérant. ≪ Cela nous permet de réagir plus rapidement aux changements de prix de la concurrence. Ce système est aussi plus écologique car il permet d’éviter des transports et l’impression de 75 millions d’étiquettes chaque année, soit une économie de 90 tonnes de papier. Elles sont également très efficaces sur le plan énergétique puisqu’elles ne consomment de l’électricité que lorsqu’un prix est modifié. Nos collaborateurs disposent également de plus de temps, notamment pour la mise en place des produits en magasin. ≫
Un parking plus sûr
≪ Nous avons également modernisé et déplacé le parking afin que celui-ci soit plus proche de l’entrée du magasin ≫, précise Rob Vandael. ≪ Plus simple et plus sûr pour nos clients. Un nouvel abri a également été prévu pour les vélos et les chariots. ≫
Magasin basse énergie
Lors de la rénovation du magasin de Hoboken, Colruyt a misé sur des techniques énergétiques durables, telles que la récupération de chaleur : la chaleur émise par les installations frigorifiques est récupérée pour chauffer le magasin. ≪ Nous optimisons ainsi notre utilisation énergétique et diminuons le taux d’émission de CO2. ≫
Ainsi, dans le cadre de son programme de rachats pour un milliard d’euros annoncé en novembre 2018, le distributeur belgo-néerlandais a acquis jusqu’à présent 24,4 millions d’actions pour un montant total de 539,5 millions d’euros.
Ahold Delhaize indique avoir racheté 2,14 millions de ses propres actions la semaine dernière (contre 1,02 million la semaine précédente), à un prix moyen de 20,53 euros par action, représentant un montant total déboursé de 43,9 millions d’euros.
Plusieurs thèmes sont prévus. Accueil dès 13H. Début des ateliers à 13H30 précises et fin à 17H30. Cet atelier a lieu au cabinet d’avocats DBB à Bruxelles, avenue des Arts 46. L’accès est très facile en métro et même à pied de la gare.
Cet atelier concerne les pros de la franchise Belge mais aussi les français intéressés par la Belgique. Chaque thème est l’occasion d’un tour de table pour échanger sur les problématiques et les bonnes pratiques. Les interventions sont les plus interactives possible. La modération est assurée par Jean Samper, fondateur du club. Chacun intervient dans sa langue.
1) La nouvelle loi sur l’interdiction de dépendance économique met-elle la franchise en danger ou est-ce un rééquilibrage nécessaire ?
Cette loi nous oblige à réexaminer les relations franchiseurs-franchisés et plus généralement les relations entre les têtes de réseau et leurs affiliés. Nous vous encourageons à lire la déclaration du Ministre Ducarme publiée dans Franchise.be. Il exprime la volonté de mieux protéger les franchisés mais bien entendu on peut se demander si cette loi ne va pas déséquilibrer et fragiliser les réseaux de franchise ou certains réseaux au moins. Sont visées “certains clauses contractuelles d’exclusivité d’approvisionnement, de clauses de non-concurrences excessives ou de pratiques de marchés agressives”. Le ministre parle de “quatre vides juridiques béants dans lesquels certains opérateurs économiques puissants se sont engouffrés”. Le sujet sera traité par Me Marjorie Rigo et Me Pierre Demolin du cabinet DBB.
2) Comment auditer un réseau ?
Les points d’attention permanents et ceux liés à l’actualité notamment juridique avec ette nouvelle loi. Comment faire en interne ou avec intervention externe ? Process, outils…. Sujet traité par Gilbert Lardinois, consultant expérimenté et Jean Samper , fondateur du Franchise Business Club.
3) Animation du réseau
Il y aurait beaucoup à dire sur ce sujet mais nous retiendrons deux axes essentiels : – Intervention et le rôle des franchisés dans l’animation du réseau. Une solution pour les jeunes réseaux ? Seulement pour eux ? – La formation continue et l’animation du réseau Sujet traité par Gilbert Lardinois et Nick Boury , consultant et directeur de franchise.be.
– Non-membres du Franchise Business Club : Une modeste participation de 50 € ht sera demandée à l’inscription – Membres du club : atelier gratuit (Pour mémoire l’adhésion au Franchise Business Club est possible à partir de 100 € ht par an)
L’enseigne française de franchise Schmidt, spécialisée dans la fabrication de meubles de cuisines avec ses deux marques Schmidt et Cuisinella, a nommé Laurent Blum (50) à la direction générale du groupe.
Laurent Blum a fait carrière chez Rubbermaid, Procter & Gamble, Nestlé, Carrefour et Grosfillex avant d’être nommé chez Schmidt.
Le groupe alsacien et ses deux marques comptent près de 700 unités en France et en Europe y compris en Belgique, avec quelque 7.000 collaborateurs. En 2018, le chiffre d’affaires du Groupe atteignait plus de 1,63 milliards d’euros.
En Belgique, le réseau des Cuisines Schmidt compte actuellement 10 concessions et celui de Cuisinella une concession. ,
L’enseigne Bagel Corner recherche des candidats franchisés dans les grandes villes ayant :
– Un état d’esprit en adéquation avec un réseau de franchise
– Un sens développé de la communication et du service client
– Une réelle envie d’indépendance
– Un dynamisme et une réelle capacité à manager une équipe
– Un vif intérêt pour le concept Bagel Corner et l’envie de le développer
– Une expérience dans la restauration n’est pas requise
Cela vous tente et vous voulez en savoir plus sur l’enseigne et sa franchise?
Contacter Marc Hostyn, le master franchisé pour la Belgique et le Luxembourg par email (marc@bagelcorner.be) ou en téléphonant aux heures de bureau au 0475 32 53 05
, Le carrefour entre les chaussées d’Ixelles et de Wavre sera réaménagé à partir du mois d’août. Alors que la place Fernand Cocq, où se situe la maison communale d’Ixelles, a été inaugurée vendredi dernier, un autre chantier va débuter au mois d’août. Il s’agit du réaménagement du carrefour entre les chaussées d’Ixelles et de Wavre.
“La Région bruxelloise nous a informés qu’à partir du début du mois d’août et pour une durée d’environ trois mois, la chaussée d’Ixelles devra à nouveau être partiellement fermée à la circulation pour pouvoir réaliser les travaux de réaménagement au niveau de la Porte de Namur”, explique le bourgmestre d’Ixelles Christos Doulkeridis (Ecolo). “Les travaux n’ont pas pu être réalisés en une fois car un chantier privé doit encore être réalisé à la place de l’ancien Quick. C’est important de le souligner car la patience des habitants et des commerçants a été extrêmement sollicitée ces derniers mois, mais ce n’était pas encore l’étape définitive des travaux.”
Et de fait, le bâtiment hébergeant l’ancien Quick a été démoli pour être reconstruit à l’identique. “Le bâtiment historique Elite House sera reconstruit en un immeuble passif accueillant des commerces, des bureaux et une fonction logement”, détaille Yves Rouyet (Ecolo), échevin de l’Urbanisme. “Ce chantier est très conséquent et les échafaudages déjà en place occupent une partie du trottoir. Il était donc impossible pour Bruxelles Mobilité de réaménager cette partie-là en même temps que le tronçon de la chaussée d’Ixelles qui va jusqu’à la place Fernand Cocq.”
Une information confirmée par le cabinet du ministre de la Mobilité Pascal Smet (SPA). “Il n’était pas possible de réaliser le chantier en une seule fois car le chantier de l’ancien Quick est privé et rendait impossible l’aménagement du trottoir. La situation est identique pour le chantier actuellement en cours au croisement entre la chaussée d’Ixelles et la rue de la Paix, où l’ancien bâtiment Solvay va céder la place à un hôtel flambant neuf.”
Pour rappel, la chaussée d’Ixelles est accessible de 7 h à 19h pour les bus, piétons, cyclistes et les véhicules de riverains autorisés mais à une vitesse maximale de 20 km/h. Après 19 h, tous les véhicules peuvent utiliser cette artère mais en respectant la même limitation de vitesse de 20 km/h. Il était dans un premier temps question de rendre la chaussée d’Ixelles totalement piétonne à la date du 17 mai, jour de l’inauguration de la place Fernand Cocq, mais il n’en est donc rien. … où passeraient les bus de la Stib ?
“Je reviendrai avec une proposition quand l’ensemble des travaux sera terminé. En effet, outre le chantier Porte de Namur et Ernest Solvay, un autre chantier doit avoir lieu du côté de la rue du Viaduc. Je préfère prendre le temps et attendre la fin de ces travaux pour repenser avec les riverains et les commerçants le plan de mobilité global”, précise Christos Doulkeridis. “Quoi qu’il en soit, nous tirerons les enseignements de la gestion du chantier de la chaussée d’Ixelles et nous serons extrêmement vigilants lors des chantiers futurs. Il faut absolument améliorer la collaboration entre les différents opérateurs qui interviennent sur un chantier pour éviter ce genre de situation à l’avenir.”
Afin d’éviter toute confusion de la part des automobilistes qui empruntent la chaussée d’Ixelles, la signalisation va être refaite. “Nous allons dédoubler la signalisation à côté des panneaux publics légaux du code de la route, qui ne sont pas compris par une grande partie des automobilistes. Nous allons rajouter une banderole du côté de la chaussée d’Ixelles et de la place Fernand Cocq avec des sigles universels compréhensibles par tous, pour expliquer la réglementation en vigueur. On va ajouter du marquage au sol et des informations aux entrées des rues. Nous allons également faire ce travail sur les voiries régionales, en avertissant la Région avant. Enfin, nous allons dans le prochain Info Ixelles faire un récapitulatif des panneaux de signalisation importants”, conclut le bourgmestre.
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