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Voilà le projet d’agrandissement prévu par la SCRL Colim.
La société SCRL Colim a décroché son permis pour agrandir le Colruyt de Ben-Ahin avec l’ajout d’un magasin Dreambaby.
Fnac Darty est entré en « négociations exclusives » pour acquérir d’ici à l’été la chaîne spécialisée Nature et Découvertes, afin de renforcer son offre « dans les produits naturels », a annoncé le groupe de distribution de produits culturels, électroniques et électroménagers.
Magasin Nature et Découvertes – Nature et Découvertes
Avec cette acquisition, dont le montant n’a pas été précisé, Fnac Darty espère « renforcer son offre de produits autour des segments du bien-être et de la consommation engagée de produits naturels », souligne le groupe dans un communiqué.
Fondée en 1990 par François Lemarchand, l’enseigne Nature et Découvertes, dont l’actionnariat est toujours majoritairement familial, dispose d’un réseau de 97 magasins en Europe.
La société, qui réalise un chiffre d’affaires d’environ 200 millions d’euros par an, dispose d’une « forte notoriété » ainsi que d’un « ADN complémentaire aux enseignes du groupe », précise Fnac Darty.
Une fois finalisée l’acquisition, le distributeur compte installer des « corners dédiés » Nature et Découvertes au sein de ses magasins Fnac en France. « Un développement accéléré de l’enseigne serait également rendu possible par le fort ancrage local de Fnac Darty, notamment en France et en péninsule ibérique », précise le communiqué du distributeur, qui entend également faire profiter Nature et Découvertes de son « expertise » numérique.
Pour Enrique Martinez, directeur général de Fnac Darty, cette acquisition permettra au groupe de « poursuivre la diversification de son offre produits en intégrant une marque forte, dont l’adhésion aux valeurs de curiosité, de découverte et de bien-être vient renforcer et enrichir notre positionnement stratégique ».
« L’expertise de Fnac Darty à l’international sera précieuse et permettra de toucher plus rapidement une communauté de clients en recherche de naturalité et de culture », affirme pour sa part François Lemarchand, président du Conseil de surveillance de Nature et Découvertes, cité dans le communiqué.
23 avril 2019
Ahold Delhaize a racheté 1,98 million de ses propres actions au cours de la semaine dernière (soit plus du triple des rachats de la précédente), à un prix moyen de 22,14 euros par action, représentant un montant total déboursé de 43,9 millions d’euros.
Ainsi, dans le cadre de son programme de rachats pour un milliard d’euros annoncé en novembre 2018, le distributeur alimentaire belgo-néerlandais a acquis jusqu’à présent près de 16,6 millions d’actions pour un montant total de 375,7 millions d’euros.
Ahold Delhaize a revu ses prévisions de bénéfice à la baisse pour 2019. En cause : la grève de sa chaîne américaine de magasins Stop & Shop, laquelle a pris fin hier au bout de 11 jours. La marge bénéficiaire sera par conséquent légèrement inférieure aux résultats de l’an passé.
Le mouvement de grève initié par Stop & Shop, la filiale américaine d’Ahold Delhaize, le 11 avril dernier est enfin terminé. Le personnel de 246 des 415 magasins aura donc interrompu le travail pendant 11 jours. Ahold Delhaize fait toutefois savoir aujourd’hui que les actions de grève ont cessé. Le groupe est parvenu hier à un accord avec cinq syndicats locaux, prévoyant notamment une hausse des salaires des travailleurs concernés.
Cette grève ne restera cependant pas sans conséquence. Le résultat opérationnel sous-jacent de Stop & Shop va chuter de 90 à 110 millions de dollars en raison de la baisse des ventes, de la forte diminution des articles et des coûts logistiques supplémentaires. Ahold Delhaize a par ailleurs revu l’estimation de ses bénéfices à la baisse. Concrètement, le groupe prévoit une marge bénéficiaire opérationnelle pour 2019 légèrement en retrait par rapport à 2018. Selon Ahold Delhaize, le bénéfice sous-jacent par action ne progressera quant à lui que de 1 à 3 % au lieu des 7 à 9 % précédemment annoncés. Le flux de trésorerie disponible reste pour sa part identique. Le groupe souligne également que les résultats du premier trimestre de cette année restent inchangés et conformes aux prévisions.
Colruyt Group poursuit le développement de son app Xtra en l’enrichissant de nouvelles fonctionnalités. Désormais, les utilisateurs de l’app ont accès dans « Mes achats » à un aperçu mensuel de leurs achats dans les magasins et webshops de Colruyt Group. Le logo Xtra subit quant à lui une cure de jouvence pour symboliser son évolution numérique. Aujourd’hui, 4,5 millions de clients utilisent Xtra, parmi lesquels 250 000 sont déjà convaincus par l’app.
« Mes achats » : une nouvelle fonctionnalité pour encore plus de convivialité
« Mes achats » est le nom de la nouvelle fonctionnalité de l’app Xtra. Grâce à elle, Colruyt Group va encore plus loin pour simplifier la vie de ses clients. Les utilisateurs de l’app Xtra ont désormais accès à un aperçu de leurs achats, regroupés en un seul endroit. Ils peuvent y consulter leurs achats mensuels effectués dans diverses enseignes et dans les webshops du groupe ainsi que le détail de leurs achats par groupe de produits : fruits et légumes, produits surgelés, jeux, multimédia, carburant…
« Xtra permet à nos clients de gagner du temps, d’effectuer leurs courses confortablement dans nos magasins et de faire le plein malin chez DATS 24 », explique Marc Hofman, COO Retail de Colruyt Group. « Dans le même temps, notre quotidien se joue toujours plus en ligne. Voilà pourquoi nous continuons à miser sur les services numériques dans l’app Xtra et comptons sur le fait que toujours plus de personnes effectueront la transition vers l’app. Nous sommes convaincus qu’elle nous permettra de répondre encore mieux aux besoins en constante évolution de nos clients. »
Progressivement, d’autres fonctionnalités seront encore ajoutées à l’app Xtra, notamment une liste de courses intelligente et des suggestions personnalisées sur la base des préférences alimentaires des clients. Les clients pourront aussi conserver toutes leurs preuves de garantie dans l’app. Depuis le début de cette année, l’app permet déjà aux clients de faire le plein à l’aide leur smartphone et les clients peuvent scanner leur code QR Xtra depuis leur montre connectée. Bien entendu, les clients utilisant l’app bénéficient aussi de tous les avantages Xtra qui leur sont offerts par la carte dans les enseignes et webshops de Colruyt Group.
Un logo plus dynamique : la marque XTRA grandit
Le logo Xtra a également été revisité pour l’occasion : il est désormais en 3D et gagne en dynamisme. Il symbolise ainsi la croissance de la marque Xtra. Ce 23 avril 2019 marque le lancement d’une campagne d’information destinée à mettre toujours plus en avant l’app Xtra auprès des clients. Désormais, les clients pourront apercevoir ce nouveau logo dans l’app, en magasin, dans les dépliants et partout où Xtra est présent.
4,5 millions d’utilisateurs dans 10 enseignes et webshops
Il y a deux ans, Colruyt Group lançait Xtra en tant qu’app et que carte client commune à 10 enseignes et webshops du groupe. Aujourd’hui, la marque Xtra est bien intégrée : elle fait partie du quotidien de plus de 4,5 millions de clients.
Adidas dévoile la Futurecraft.Loop, une paire de baskets de course entièrement recyclable. Le projet vise à éliminer progressivement les déchets plastiques. « Dans un circuit fermé, les matières premières peuvent être réutilisées à l’infini. Et pas seulement pour fabriquer une bouteille d’eau ou un sac de courses, mais aussi une nouvelle paire de chaussures de course haute performance », explique Adidas.
Après usage, la chaussure doit être retournée à Adidas, qui la nettoie, puis la fractionne en petits composants qui, une fois fusionnés, permettent de donner naissance à un nouveau matériau à partir duquel des composants pour de nouvelles chaussures seront finalement fabriqués.
Tanyaradzwa Sahanga, responsable de l’innovation technologique chez Adidas, est très fière de ce nouveau produit : « Il était clair pour nous qu’il s’agissait d’un projet visionnaire à tous égards, tant du point de vue technique que du point de vue du comportement du consommateur. Parfois, on avait l’impression qu’on n’arriverait pas à surmonter certains obstacles techniques. Maintenant que nous avons fait le premier grand pas, les règles du jeu ont changé. Nous ne pourrons pas rendre l’économie circulaire en nous y prenant seuls, nous avons besoin les uns des autres. Nous sommes heureux de faire de cette première étape une réalité ».
Pour fabriquer des chaussures de sport, les fabricants utilisent généralement des mélanges de matériaux complexes et de composants collés. Résultat : à la fin de leur cycle de vie, les matériaux ne peuvent être transformés qu’en produits de qualité inférieure, explique Adidas.
Après presque dix ans de recherche et de développement, l’équipementier allemand, en collaboration avec des partenaires de premier plan dans les domaines du développement, de la production et du recyclage de matériaux en Asie, en Europe et en Amérique du Nord, a trouvé un moyen de modifier ce processus. En n’utilisant qu’un seul type de matériau et en se passant d’adhésifs, la chaussure est faite pour être recyclée dès le départ. Chaque composant de la chaussure est fait de polyuréthane thermoplastique 100 % recyclable, filé, tricoté et thermoformé. La tige est ensuite fusionnée avec une semelle intermédiaire Boost, qui utilise la technologie Adidas Speedfactory.
« Futurecraft.Loop est notre première chaussure de course recyclable. Cette chaussure témoigne de nos efforts pour assumer la responsabilité de l’ensemble du cycle de vie de nos produits et prouve qu’il est possible de fabriquer des chaussures de course haute performance qui ne sont pas jetables », déclare Eric Liedtke, membre du conseil d’administration d’Adidas, responsable de Global Brands.
La première génération de la chaussure Futurecraft.Loop sera lancée dans le cadre d’un programme mondial réunissant 200 créatifs influents des plus grandes villes du monde, qui seront les premiers à pouvoir porter les chaussures. Une fois testées, elles seront renvoyées chez Adidas, démontées et recyclées. Une deuxième génération sera développée sur la base des commentaires des coureurs. Les résultats seront incorporés dans une feuille de route avant un lancement sur le marché prévu pour le printemps-été 2021.
La chaîne de meubles Ikea pourrait ouvrir un petit magasin au centre de Bruxelles, a déclaré Jesper Brodin, CEO d’Ingka Group. Mais l’entreprise teste d’abord les villes où une telle ouverture pourrait être la plus performante.
Bruxelles est sur la liste
Dans un monde qui change, même une icône comme Ikea doit adapter son business model. L’entreprise teste pour l’instant de nouveaux concepts dans différentes villes, comme le leasing de meubles, l’assemblage au domicile du client, et aussi l’ouverture de plus petits magasins urbains, où vous ne retrouverez pas tout l’assortiment mais où vous pourrez le faire commander. Brodin, le CEO, ne veut pas fixer de chiffres concrets, mais la chance est grande que le concept fasse son apparition chez nous, a-t-il expliqué aujourd’hui dans Trends-Tendances : “Nous avons identifié les villes qui sont les plus importantes pour nous. Et Bruxelles se trouve sur la liste. Nous sommes pour l’instant dans une phase de test dans 5 villes. Et si ce test est un succès, nous espérons pouvoir démarrer à Bruxelles.”
Le modèle de magasin urbain n’est pas encore tout à fait au point, souligne Brodin : “Nous devons encore examiner un certain nombre de questions. Tout d’abord : quels sont les produits que les gens veulent emporter immédiatement et quels sont ceux qu’ils préféreraient voir livrer plus tard à domicile ? Dans le centre urbain, rares sont les clients qui feraient l’achat d’un banc pour ensuite le transporter eux-mêmes jusqu’à la maison… La deuxième question est celle de savoir comment nous pouvons approvisionner les magasins situés au centre-ville avec la circulation. L’emplacement lui-même est très important. Devons-nous nous installer dans les quartiers plus huppés ou bien un peu plus en périphérie, là où peuvent nous atteindre des personnes ayant moins de moyens et qui sont plutôt notre groupe cible ? Nous testons tout cela.”
En outre, Ikea teste également des touch points, de plus petites dimensions, où l’on ne peut rien acheter, mais obtenir des conseils et des informations. Les points d’enlèvement ‘click & collect’ n’ont pas rencontré un grand succès : les gens préfèrent que leur mobilier soit livré chez eux. Cette livraison ne sera d’ailleurs jamais gratuite : “Nous ne voulons pas gagner beaucoup d’argent avec les livraisons, mais nous nous voulons pas non plus en perdre.” Ikea a l’avantage à cet égard que ses magasins existants peuvent faire office d’entrepôts logistiques.
Source : Trends-Tendances / retaildetail
La Fédération française de la franchise a publié un bilan 2018 globalement satisfaisant à l’occasion du salon de la Franchise de Paris qui s’est tenu fin mars 2019.
« Dans le climat morose actuel, c’est une chance de pouvoir présenter des chiffres positifs à la presse », a relevé Chantal Zimmer, déléguée générale de la fédération. Mais cela n’a pas été grâce au secteur de l’équipement de la personne.
Car si l’on regarde les indicateurs de la franchise en France, tous secteurs confondus, 2018 a été un bon cru, avec des progressions sur plusieurs points. Le chiffre d’affaires global des franchisés français d’abord, qui a progressé de 4,1 % sur l’année, à 62,01 milliards d’euros. Puis le nombre de points de vente, 75 193 sur tout le territoire, en hausse de 1,5 %, et enfin les embauches, avec 30 000 salariés de plus, pour atteindre le chiffre de 700 000.
Le secteur de l’équipement de la personne (mode femme, homme, enfant, chaussure, accessoires…) est toujours le premier en nombre d’enseignes (378), devant la restauration ou les services, mais il a bien été le plus à la peine en 2018. La Fédération française de la franchise communique une hausse du chiffre d’affaires à 5,7 milliards d’euros, qui n’est en fait le reflet que de l’intégration nouvelle du secteur optique dans cette catégorie. « Si l’on exclut l’optique, le chiffre d’affaires des franchisés de l’équipement de la personne n’a pas progressé, il est resté stable », explique Chantal Zimmer.
Le sport lui se porte mieux, faisant progresser son chiffre d’affaires généré par les franchisés français de 366,5 à 390 millions d’euros en 2018, soit une hausse de 6,5 %.
S’ils ont été impactés par le mouvement des gilets jaunes en fin d’année, comme les franchisés des autres secteurs, les commerçants affiliés côté mode ont donc été plus à la peine toute l’année durant. Même si Chantal Zimmer note une meilleure résistance de la franchise face au succursalisme. « Je pense que derrière chaque franchisé il y a un chef d’entreprise et donc un combattant. Des gens qui ont une capacité à s’adapter à ce qu’ils voient sur le terrain, à se remettre en question dans chaque point de vente », estime la déléguée générale de la fédération.
Mais dans la préparation de l’édition de Franchise Expo Paris, le constat des difficultés du secteur se fait. L’équipement de la personne est le seul segment qui recule en nombre d’exposants par rapport à l’an dernier, puisque celui-ci passe d’une quarantaine à une trentaine d’enseignes représentées. Un petit nombre par rapport au poids du secteur sur la franchise dans son ensemble.
Ont manqué à l’appel quelques noms forts du rendez-vous, comme Mango, qui rebrousse chemin, ou encore Orchestra. L’enfant qui perd plusieurs représentants puisque ont été également absents Z, Kickers, La Compagnie des Petits, présents l’an dernier. Mais il y a tout de même quelques nouveaux malgré ce climat morose du secteur. Ont ainsi leur apparition ou leur retour : Armor-Lux, Gémo, le chausseur Primadonna Collection ou encore les maillottiers Pain de Sucre et Soraya.
À l’occasion de la journée nationale non-officielle du cannabis (le 20 avril), l’enseigne américaine de fast-food Carl’s Jr a lancé une une nouvelle recette de sandwich : le Rocky Mountain High Cheese Burger composé de beaucoup, beaucoup de fromage, le tout relevé par une sauce infusée au CBD, à savoir au cannabis.
Le Rocky Mountain High Burger ne sera proposé qu’aux personnes majeures, à savoir aux individus âgés de plus de 21 ans (l’âge de la majorité aux États-Unis), au prix de 4,20 dollars. Ce burger sera toutefois disponible dans un seul établissement de l’enseigne : le Carl’s Jr situé dans la ville de Denver, dans l’État du Colorado. Et pour cause, il s’agit du tout premier état américain à avoir légalisé le cannabis. C’était en 2012..
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